RBC Gestion de patrimoine fera l'acquisition des activités internationales de banque privée de Coutts en Amérique latine, aux Antilles et en Afrique English
RBC Gestion de patrimoine prend de l'expansion dans les marchés émergents
TORONTO, le 20 mars 2012 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (RY à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York) a annoncé aujourd'hui que RBC Gestion de patrimoine, sa division mondiale de gestion de patrimoine, ferait l'acquisition des activités de banque privée en Amérique latine, aux Antilles et en Afrique de Coutts, la division de gestion de patrimoine du groupe Royal Bank of Scotland. Le groupe gère des actifs clients de plus de deux milliards de dollars américains.
« Il s'agit, pour nous, d'une excellente occasion d'augmenter notre part du marché de la clientèle fortunée et très fortunée dans des régions clés en plein essor, et de fournir des rendements très attrayants, a déclaré George Lewis, chef de groupe de RBC Gestion de patrimoine. À titre de sixième gestionnaire de patrimoine en importance au monde, nous pouvons offrir à ces clients un niveau très élevé de service personnalisé, ainsi que la gamme de capacités mondiales qu'ils attendent d'une société internationale de premier plan. »
Les actifs faisant l'objet de l'acquisition comprennent des clients d'Amérique latine, des Antilles et d'Afrique, les membres clés du personnel chargé de la prestation des services de banque privée, qui résident principalement à Genève, en Suisse, ainsi qu'une équipe établie dans les îles Caïmans.
« Nos opérations à Genève se sont bâti une excellente réputation au chapitre de la prestation de services répondant aux besoins souvent complexes de cette clientèle des marchés émergents, a déclaré Karen Simpson, directrice générale et chef, RBC Banque privée, Royal Bank of Canada (Suisse) S.A. Cette acquisition nous permettra d'augmenter fortement notre clientèle dans ces trois importantes régions cibles. »
Les conditions de l'opération n'ont pas été rendues publiques. L'opération devrait être conclue vers la fin du deuxième trimestre de 2012.
RBC Gestion de patrimoine
RBC Gestion de patrimoine est l'un des dix plus importants gestionnaires de patrimoine du monde. RBC Gestion de patrimoine sert directement des clients aisés, fortunés et très fortunés au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie en leur offrant une gamme complète de services bancaires, de services de placement, de services de fiducie et autres solutions de gestion de patrimoine. Elle fournit en outre aux clients institutionnels et aux particuliers des produits et des services de gestion d'actifs directement et par l'intermédiaire de RBC et de distributeurs externes, au moyen de sa division RBC Gestion mondiale d'actifs (qui comprend BlueBay Asset Management). RBC Gestion de patrimoine compte plus de 534 milliards de dollars canadiens d'actifs sous administration, plus de 313 milliards de dollars canadiens d'actifs sous gestion et quelque 4 300 conseillers financiers, banquiers privés et chargés de comptes des services fiduciaires.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué peuvent être réputées constituer des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, et notamment des « mesures refuges » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et de toutes les lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment les déclarations concernant l'acquisition de Coutts, et d'actifs connexes, par la Banque Royale du Canada. Les mots « peuvent », « pourraient », « devraient », « soupçonner », « perspectives », « croire », « projeter », « prévoir », « estimer », « s'attendre », « se proposer » et l'emploi du conditionnel et du futur ainsi que les mots et expressions semblables visent à dénoter des énoncés prospectifs.
De par leur nature même, les déclarations prospectives comportent des hypothèses, et des incertitudes et risques intrinsèques, et il est possible que nos prédictions, prévisions, projections, attentes, conclusions et autres déclarations prévisionnelles, y compris les déclarations au sujet de l'acquisition de Coutts par la Banque Royale du Canada, ne se matérialisent pas. Nous déconseillons aux lecteurs de se fier indûment à ces déclarations, étant donné que nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs importants. Ces facteurs comprennent notamment la possibilité que l'opération envisagée ne soit pas conclue ou ne soit pas conclue dans les délais prévus parce que les approbations réglementaires et les autres approbations requises ne sont pas reçues ou que d'autres conditions de clôture ne sont pas remplies, ou ne le sont pas dans les délais voulus, que la Banque Royale du Canada, Coutts ou Royal Bank of Scotland puissent être tenues de modifier les conditions et modalités de l'opération envisagée pour obtenir les approbations réglementaires, ou que les avantages escomptés de l'opération ne se matérialisent pas en raison d'éléments tels que la vigueur de l'économie et des facteurs concurrentiels dans les régions où Coutts exerce ses activités, l'incidence des modifications apportées aux lois et règlements qui régissent les services financiers (notamment les services bancaires, les assurances et les valeurs mobilières) et leur mise en application, les décisions judiciaires ou réglementaires et les poursuites judiciaires, la capacité de Coutts et de Royal Bank of Scotland de réaliser l'acquisition, et les risques pour la réputation et d'autres facteurs qui pourraient influer sur les résultats futurs de la Banque Royale du Canada, de Coutts et de Royal Bank of Scotland. Nous avisons les lecteurs que la liste des facteurs importants qui précède n'est pas exhaustive. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et d'autres facteurs sont fournis dans notre Rapport aux actionnaires du premier trimestre 2012 et dans notre Rapport annuel 2011.
À moins que la loi ne l'exige, la Banque Royale du Canada n'assume aucune obligation d'actualiser les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué.
Personnes-ressources, médias :
Royaume-Uni et Europe :
Paul French, Londres, +44-20-7002-2013, [email protected]
Asie et Amérique latine :
Peter Hoflich, Singapour, 65-6230-1530, [email protected]
États-Unis et Canada :
Tanis Robinson, RBC, 416 955-5172, [email protected]
Relations avec les investisseurs :
Amy Cairncross, RBC, 416 955-7803, [email protected]
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