TORONTO, le 29 janv. 2014 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (RY sur TSX et NYSE) a annoncé aujourd'hui la signature d'accords définitifs visant la vente de RBC Royal Bank (Jamaica) Limited et de RBTT Securities Jamaica Limited (collectivement, les « activités de RBC en Jamaïque ») à Sagicor Group Jamaica Limited. L'opération, qui se fera sous réserve des conditions de clôture habituelles, notamment l'obtention des approbations réglementaires, devrait être finalisée au cours des prochains mois.
« Conformément à notre stratégie visant à occuper une position de chef de file concurrentiel dans les marchés où nous exerçons des activités, nous avons déterminé, après un examen minutieux et approfondi, que la meilleure décision à prendre pour assurer la réussite à long terme des activités de RBC en Jamaïque était de les vendre à Sagicor, a déclaré Suresh Sookoo, chef de la direction, RBC Antilles. Sagicor est une société de services financiers bien établie en Jamaïque dont la taille, la portée et les capacités complémentaires surpassent celles de RBC en Jamaïque. »
« RBC exerce des activités dans les Antilles depuis plus de 100 ans et conserve sa présence dans cette région. Cette opération nous permettra de repositionner avec succès notre division des Antilles et d'axer nos priorités sur les régions où nous détenons une importante part de marché, a déclaré Dave McKay, chef de groupe, Services aux particuliers et aux entreprises, RBC. Nous nous efforçons de renforcer notre rendement commercial, notre niveau de service et notre compétitivité dans les marchés où nous pouvons nous démarquer durablement de la concurrence. »
Bien que les modalités financières de l'opération n'aient pas été divulguées, le prix de vente correspond, à peu de chose près, à la valeur comptable des activités de RBC en Jamaïque. RBC prévoit que l'opération entraînera une perte estimative de 60 millions CAD (avant et après impôts), selon les normes IFRS. Ce montant est en grande partie lié à une dépréciation estimative de la quote-part de la survaleur et d'autres immobilisations incorporelles acquises par RBC par suite de l'achat par cette dernière de RBTT Financial Group, en 2008. L'opération ne devrait pas avoir d'incidence importante sur le ratio des capitaux propres de première catégorie de RBC au titre du cadre réglementaire Bâle III.
Estimative et sujette à changement, la perte sera reflétée dans les résultats du premier trimestre terminé le 31 janvier 2014. RBC publiera ses résultats du premier trimestre de 2014 le 26 février 2014. La diffusion sera suivie d'une conférence téléphonique.
RBC
La Banque Royale du Canada (RY aux bourses de Toronto et de New York) est la plus grande banque du Canada et l'une des plus grandes banques du monde par sa capitalisation boursière. L'une des principales sociétés de services financiers diversifiés en Amérique du Nord, elle offre, à l'échelle mondiale, des services bancaires aux particuliers et aux entreprises, des services de gestion de patrimoine, des services d'assurance, des services aux investisseurs et des produits et services de marchés des capitaux. Elle compte environ 79 000 employés à plein temps et à temps partiel au service de plus de 15 millions de particuliers, d'entreprises, de clients du secteur public et de clients institutionnels au Canada, aux États-Unis et dans 44 autres pays. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.rbc.com.
Déclarations prospectives
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué de presse pourraient être réputées constituer des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, notamment des « mesures refuges » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment des déclarations concernant la perte liée à la vente des activités de RBC en Jamaïque qui devrait être reflétée dans nos résultats financiers du premier trimestre de 2014. Les mots « peuvent », « pourraient », « devraient », « soupçonner », « perspectives », « croire », « projeter », « prévoir », « estimer », « s'attendre », « se proposer » et l'emploi du conditionnel et du futur, ainsi que les mots et expressions semblables, visent à dénoter des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses se révèlent erronées et que nos déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à la perte liée à la vente des activités de RBC en Jamaïque qui devrait être reflétée dans nos résultats financiers du premier trimestre de 2014, ne se matérialisent pas. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, puisque nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risque. Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants de notre volonté et dont nous pouvons difficilement prédire les effets, comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité, de financement, d'assurance, de non-conformité à la réglementation et de concurrence, les risques opérationnels, stratégiques et réputationnels, ainsi que d'autres risques qui sont expliqués aux rubriques Gestion du risque et Aperçu d'autres risques de notre rapport annuel 2013 ; l'incidence de la réforme réglementaire ; la conjoncture commerciale et économique au Canada, aux États-Unis et dans certains autres pays où nous exerçons nos activités ; l'incidence des modifications des politiques gouvernementales fiscales, monétaires et autres ; les décisions judiciaires et réglementaires et les poursuites en justice. Nous avertissons les lecteurs que la liste susmentionnée de facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les personnes, notamment les investisseurs, qui se fient à nos déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres faits et incertitudes. Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué sont présentées à la rubrique Vue d'ensemble et perspectives et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, à la rubrique Perspectives et priorités de notre rapport annuel 2013. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur d'autres facteurs sont fournis aux rubriques Gestion du risque et Aperçu d'autres risques de notre rapport annuel 2013. À moins que la loi ne l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit qui est faite dans le présent communiqué.
SOURCE : RBC (French)
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