QUÉBEC, le 22 mars 2018 /CNW Telbec/ - Le DPCP tient à réagir à l'extrait des propos d'un procureur diffusé par Radio-Canada hier soir concernant un dossier d'agression sexuelle impliquant une victime mineure au Nunavik.
Ces propos ne correspondent pas à la position du DPCP concernant la reconnaissance des conséquences importantes et néfastes des agressions sexuelles sur les victimes, leurs proches et la société dans son ensemble.
Le DPCP a immédiatement enclenché un processus de vérification pour clarifier le contexte dans lequel ces propos ont été tenus.
Le Directeur des poursuites criminelles et pénales
Le DPCP fournit, au nom de l'État, un service de poursuites criminelles et pénales indépendant, contribuant à assurer la protection de la société, dans le respect de l'intérêt public et des intérêts légitimes des victimes.
Chaque dossier soumis au DPCP est analysé avec rigueur et impartialité. La norme qui guide les procureurs concernant l'opportunité d'entreprendre une poursuite est prévue à la directive ACC-3 du DPCP.
La publication des motifs qui étayent la décision de ne pas porter d'accusation dans certains dossiers revêt un caractère exceptionnel et s'appuie sur des lignes directrices.
Source :
Me Joanne Marceau
Procureure en chef
Bureau de la directrice
Directeur des poursuites criminelles et pénales
418 643-4085
SOURCE Directeur des poursuites criminelles et pénales
Me Joanne Marceau, Procureure en chef, Bureau de la directrice, Directeur des poursuites criminelles et pénales, 418 643-4085
Partager cet article