Réputation de Dominic Colubriale - Le président de Ricova réitère qu'il a toujours agi en toute légalité
BROSSARD, QC, le 30 sept. 2022 /CNW Telbec/ - À la suite du reportage dans le Journal de Montréal et pour l'émission J.E. du réseau TVA, Dominic Colubriale réitère que son entreprise, Ricova, et lui-même, n'entretiennent aucun lien avec le crime organisé.
« Je répète ce que j'ai déjà dit, il y a quelques mois, lorsqu'un autre média a tenté de répandre ces mensonges à notre sujet », déclare Dominic Colubriale, président-directeur général de Ricova. « Je ne fais pas des affaires avec des criminels et jamais je ne le ferai. »
« Quand certains médias en viennent à sous-entendre que mon entreprise, nos gestionnaires, ma famille ou moi-même entretenons des liens avec elles, ceci porte directement atteinte à notre intégrité en plus d'être totalement faux », poursuit Dominic Colubriale. « Mon entreprise familiale, pionnière dans la valorisation des matières recyclables depuis plus de vingt ans, n'agit pas à l'encontre des lois, ni ne supporte des organisations ou des individus criminalisés. En aucun temps je n'ai été approché par les corps policiers au sujet d'enquêtes à mon égard ou sur Ricova. »
Le reportage du Bureau d'enquête de TVA est par ailleurs incorrect sur plusieurs aspects, notamment :
- Aucune accusation n'a été portée contre Ricova pour avoir « floué la Ville de Montréal », comme le laisse entendre l'article;
- Toutes les opérations de Ricova se déroulent à partir de son siège social, situé à Brossard. Les bureaux de Colombie accueillent des employés administratifs.
Par ailleurs, Ricova ne reçoit aucune cargaison au Canada et ses conteneurs sont très régulièrement inspectés par les douanes canadiennes - ralentissant d'ailleurs les opérations de l'organisation. « Il est complètement impossible que nous puissions être impliqué dans du trafic provenant de Colombie, car nous n'avons aucune importation de ce pays entrant au Canada », précise Dominic Colubriale.
L'Institut de la confiance dans les organisations a par ailleurs délivré un certificat de conformité à la suite d'une enquête approfondie sur la probité de ses dirigeants. Dans le même esprit, l'Autorité des marchés publics a aussi émis les autorisations nécessaires pour permettre à Ricova et à ses dirigeants de soumissionner sur des contrats publics, et ce, après une enquête de l'Unité permanente anticorruption, comme le prévoit la procédure usuelle.
« Je ne laisserai pas le nom Colubriale ou celui de Ricova être sali sans conséquences sur la place publique. Mon objectif est de poursuivre notre travail pour améliorer la qualité des matières issues des centres de tri opérés par Ricova, continuer à servir nos clients municipaux, institutionnels, commerciaux et industriels. Ce salissage ne sert en rien pour protéger l'environnement », conclut Dominic Colubriale.
Une vidéo d'Aubert Gallant, directeur chez Ricova, est disponible en cliquant ici.
Ricova œuvre dans le domaine du transport et de la collecte des matières résiduelles et recyclables. Ricova procède à la collecte des matières résiduelles auprès d'entreprises privées ainsi que de plusieurs municipalités au Québec. Les matières recyclables représentent plus de 80 % des matières qu'elle collecte et transporte. L'entreprise assure aussi l'opération et la gestion de plusieurs centres de tri.
SOURCE Ricova
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