Le résultat d'exploitation et les pertes de crédit attendues rendent compte de l'incidence de la COVID-19, mais les dépôts des clients ont fortement augmenté
VANCOUVER, BC, le 2 août 2020 /CNW/ -
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La COVID-19 a eu de fortes répercussions sur la performance au deuxième trimestre et au premier semestre de 2020 puisque la volatilité des marchés, les réductions de taux par les banques centrales, le repli des prix du pétrole et le ralentissement des activités des clients ont entraîné un recul du résultat d'exploitation et ont accru les pertes de crédit attendues, ce qui a fait baisser le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat.
Tout au long de la période, nous avons avant tout cherché à aider nos clients existants, dont plusieurs ont été touchés par les mesures visant à maîtriser la pandémie, et à approfondir nos liens avec eux. Nous continuons de les aider à combler leurs besoins en fonds de roulement, leur offrant notamment de reporter leurs paiements afin qu'ils puissent traverser la crise actuelle et, grâce à diverses campagnes de promotion, leurs dépôts ont fortement augmenté.
Le résultat d'exploitation de 502 M$ pour le trimestre et de 1 048 M$ pour le semestre signale des baisses de 43 M$, ou 7,9 %, et de 42 M$, ou 3,9 %, respectivement, sur un an.
Les produits d'intérêts nets ont été de 249 M$ pour le trimestre, ayant diminué de 70 M$, ou 22 %, et de 567 M$ pour le semestre, en baisse de 75 M$, ou 12 %. Le fait de maintenir un niveau plus élevé d'actifs hautement liquides qui génèrent des rendements moins élevés et les réductions de taux pratiquées par les banques centrales ont affaibli les produits d'intérêts nets, facteur atténué par la hausse des prêts et des dépôts.
Tous les autres types de produits ont, en regard d'un an plus tôt, augmenté au deuxième trimestre :
- Conjuguées à des variations favorables des évaluations du crédit et du financement, les activités de négociation et de vente fort intenses de l'unité Marchés se sont traduites par une hausse des produits tirés des activités de négociation. Pour le semestre, ces produits ont été affaiblis par les variations défavorables des évaluations du crédit et du financement survenues au premier trimestre en lien avec la COVID-19.
- Les autres éléments de produits du trimestre et du semestre ont augmenté, et ce, en raison surtout de la progression des profits réalisés à la cession de placements financiers et à l'extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui ont été rachetées.
- Les produits de commissions nets du trimestre et du semestre ont monté par suite de l'accroissement des commissions de prise ferme des Services bancaires internationaux et marchés, de la hausse des commissions tirées des facilités de crédit qui a découlé de l'accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises et de la progression des produits de commissions nets générés par les cartes et des produits de courtage en ligne du secteur de la gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers2.
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Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2020 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire). |
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Au deuxième trimestre de 2020, le Groupe HSBC Holdings (le « Groupe HSBC ») a regroupé les Services bancaires de détail et gestion de patrimoine et les Services de banque privée de sorte à former l'une des plus grandes entreprises de gestion de patrimoine au monde, soit Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. En conséquence, le nom de notre secteur d'activité mondial des services bancaires de détail et gestion de patrimoine (« SBDGP ») a été changé pour celui de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »). La Banque HSBC Canada n'avait pas de secteur d'activité distinct offrant des services de banque privée et c'est pourquoi le changement de structure n'a donné lieu à aucune modification de l'actif, du passif, des produits ou des charges qui, auparavant, étaient attribuables au secteur des SBDGP. |
Comme les restrictions économiques liées à la COVID-19 ont débuté en mars, la banque a tenu compte de l'évaluation défavorable des scénarios économiques prospectifs au moment d'établir ses résultats du premier trimestre. Le ralentissement économique initial a été brutal, et les données économiques prospectives de la banque se sont détériorées au deuxième trimestre. Combiné à la fragilisation du secteur de l'énergie, ce facteur s'est soldé par des charges au titre des pertes de crédit attendues supplémentaires de 190 M$ pour le deuxième trimestre et de 330 M$ pour le semestre. Les charges avaient été de 40 M$ pour le même trimestre et de 28 M$ pour le semestre correspondant de l'exercice précédent.
Le total des charges d'exploitation s'est allégé de 33 M$, ou 9,8 %, pour le trimestre et de 34 M$, ou 5,1 %, pour le semestre puisque nous avons géré nos coûts avec soin tout en effectuant des investissements stratégiques afin de faire croître nos secteurs d'activité, simplifier nos processus et offrir les services numériques que nos clients demandent.
En conséquence, le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est dégagé à 8 M$ pour le trimestre, en baisse de 160 M$, ou 95 %, et à 87 M$ pour le semestre, pour un recul de 310 M$, ou 78 %.
Principales mesures financières au 30 juin 2020 :
- Total de l'actif : 124,6 G$ (106,6 G$ au 31 décembre 2019)
- Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 : 12,3 % (11,3 % au 31 décembre 2019)
- Ratio du capital de catégorie 1 : 14,8 % (13,9 % au 31 décembre 2019)
- Ratio du capital total1 : 17,1 % (16,4 % au 31 décembre 2019)
- Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire1 : 1,7 % (11,2 % au 30 juin 2019)
Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.
En guise de commentaire sur les résultats du trimestre, Sandra Stuart, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, a fait la déclaration suivante :
« Ces temps de pandémie sont exceptionnels et nos résultats pour la période ne sont pas ceux que nous obtenons habituellement. De fait, nos provisions estimatives pour les pertes sur prêts ont fortement augmenté à cause du contexte macroéconomique. En dépit des énormes défis que pose la COVID-19, certains facteurs sont encourageants. Dans ce premier trimestre complet où l'incidence de la COVID-19 s'est fait sentir, les dépôts des clients de tous nos secteurs d'activité ont affiché une forte hausse. Le résultat d'exploitation du secteur des Services bancaires internationaux et marchés s'est renforcé. Le secteur des Services aux entreprises a également vu ses prêts augmenter en regard d'il y a un an, et ses produits n'ont que peu baissé. Pour ce qui est du secteur de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, le solde de la relation globale des clients2 a enregistré une croissance record.
Malgré les circonstances, nous avons offert de bons services à notre clientèle, avons soutenu notre personnel, avons maintenu une excellente position en matière de liquidité et de fonds propres et, grâce à une gestion des coûts empreinte de rigueur, nous avons poursuivi nos investissements, consolidant ainsi les bases d'une forte croissance à venir.
Après 40 ans au service de la HSBC, je prendrai ma retraite sous peu, passant le flambeau à celle qui me succédera, Linda Seymour, et qui, grâce à sa vaste expérience et à sa compétence ainsi qu'au soutien de toute l'équipe de direction, continuera d'aider nos employés et nos clients à traverser la crise qui sévit actuellement. »
1 |
Pour évaluer sa performance, la banque utilise, entre autres, des mesures financières dérivées des résultats qu'elle publie. Or, ces mesures ne sont ni présentées dans les états financiers consolidés ni définies aux termes des IFRS. Elles sont considérées comme non conformes aux IFRS; il est donc improbable qu'elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d'autres entreprises. Pour plus d'informations au sujet des mesures non conformes aux IFRS, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières non conformes aux IFRS » du rapport de gestion qui est joint aux états financiers consolidés résumés intermédiaires non audités du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2020. |
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Le solde de la relation globale des clients se compose des soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine. |
Analyse des résultats financiers consolidés du deuxième trimestre et du semestre clos le 30 juin 20201
Les produits d'intérêts nets se sont chiffrés à 249 M$ pour le trimestre, ayant reculé de 70 M$, ou 22 %, en regard d'il y a un an, et pour le semestre, ils ont été de 567 M$, s'étant affaiblis de 75 M$, ou 12 %, ce qui reflète l'incidence du maintien de niveaux plus élevés d'actifs hautement liquides qui génèrent de moins bons rendements et la compression des marges en raison des réductions de taux par les banques centrales.
Les produits de commissions nets du trimestre se sont chiffrés à 178 M$, ce qui représente une hausse de 4 M$, ou 2,3 %, sur un an. Cette hausse a découlé de la progression des commissions de prise ferme du secteur des Services bancaires internationaux et marchés. Quant à celui de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, les produits de commissions nets ont augmenté, les charges de commissions ayant reculé en raison de la baisse des volumes de transactions, ce qui a été atténué par la diminution des commissions tirées de la moyenne des fonds sous gestion qu'a causée une mauvaise conjoncture de marché. Pour le semestre, les produits de commissions nets se sont établis à 356 M$, s'étant renforcés de 26 M$, ou 7,9 %, ce qui a découlé de la hausse des commissions de prise ferme du secteur des Services bancaires internationaux et marchés, de l'accroissement des commissions tirées des facilités de crédit qu'a permis l'élargissement des volumes des acceptations bancaires du secteur des Services aux entreprises ainsi que de la hausse des produits de commissions nets tirés des cartes de crédit et de la montée des produits de courtage en ligne du secteur de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers.
Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction du trimestre se sont chiffrés à 47 M$, ayant augmenté de 14 M$, ou 42 %, sur un an, ce qui est imputable à des variations favorables des ajustements de crédit et des ajustements de la juste valeur liés au financement, variations ayant essentiellement résulté de la contraction des écarts de crédit et du fait que les marchés ont été moins volatils durant ce trimestre. Les activités de négociation de la sous-division chargée des taux ainsi que celles de gestion du bilan se sont intensifiées, ce qui a été contrebalancé en partie par une baisse des volumes des ventes de produits de change. Le repli des produits d'intérêts nets sur les activités de négociation attribuable à la composition des produits a également accentué la baisse précitée. Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction se sont situés à 73 M$ pour le semestre, ayant fléchi de 8 M$, ou 9,9 %, à cause du repli des produits d'intérêts nets sur les activités de négociation, repli imputable à la composition des produits. Les variations défavorables des ajustements de crédit et des ajustements de la juste valeur liés au financement, variations provenant principalement de l'élargissement des écarts de crédit et de la volatilité des marchés en raison de la COVID-19 au premier trimestre, ont également contribué à ce fléchissement. Ce facteur a été neutralisé en partie par les variations favorables de ces éléments au deuxième trimestre. Les activités de négociation et de vente de l'unité Marchés sont demeurées élevées au deuxième trimestre, et ce, grâce à l'intensification des activités de négociation de la sous-division chargée des taux ainsi que de celles de gestion du bilan.
Les autres éléments de produits du trimestre se sont situés à 28 M$, s'étant accrus de 9 M$, ou 47 %, sur un an, et ils ont été de 52 M$ pour le semestre, ce qui signale une amélioration de 15 M$, ou 41 %. Ces hausses ont résulté de l'augmentation des profits réalisés à la cession de placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d'actifs liquides de la banque. Un profit pris en compte dans les autres produits d'exploitation et lié à l'extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui ont été rachetées a également contribué à ces hausses.
La variation des pertes de crédit attendues pour le deuxième trimestre de 2020 a consisté en une charge de 190 M$, comparativement à une charge de 40 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. La variation des pertes de crédit attendues pour le semestre a consisté en une charge de 330 M$, contre une charge de 28 M$ un an plus tôt. Ces charges ont découlé essentiellement de la détérioration continue des données économiques prospectives à cause de la pandémie de COVID‑19, ce facteur ayant influé sur le portefeuille de prêts productifs au deuxième trimestre. Les pertes de valeur liées à des prêts non productifs dans le secteur de l'énergie, pertes découlant essentiellement de la baisse des prix du pétrole, ont également contribué à hausser les pertes de crédit attendues. En 2019, les charges étaient essentiellement liées aux prévisions économiques alors en vigueur, lesquelles suggéraient un ralentissement de la croissance du PIB.
Le total des charges d'exploitation s'est établi à 304 M$ pour le trimestre, s'étant allégé de 33 M$, ou 9,8 %, en regard d'un an plus tôt, et pour le semestre, il s'est situé à 631 M$, ce qui représente une baisse de 34 M$, ou 5,1 %. Ces diminutions proviennent surtout de la réduction des frais liés au personnel et des coûts discrétionnaires durant le trimestre. Nous continuons d'effectuer des investissements stratégiques afin de croître nos secteurs d'activité, simplifier nos processus et offrir les services numériques que nos clients demandent.
En ce qui concerne la charge d'impôt sur le résultat, le taux d'imposition effectif a été de 38,6 % au deuxième trimestre de 2020, ce qui dépasse le taux prévu par la loi, soit 26,7 %, et reflète l'augmentation de la charge d'impôt. Pour le deuxième trimestre de 2019, le taux d'imposition effectif avait été de 27,3 %.
1 |
Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2020 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire). |
Dividendes
Dividendes déclarés au deuxième trimestre de 2020
La banque a déclaré des dividendes trimestriels réguliers de 12 M$ sur ses actions privilégiées de catégorie 1, séries G, I et K, pour le deuxième trimestre de 2020. Aucun dividende n'a été déclaré ni versé sur ses actions ordinaires au cours du deuxième trimestre.
Dividendes déclarés au troisième trimestre de 2020
Le 24 juillet 2020, la banque a déclaré, pour le troisième trimestre de 2020, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d'actions privilégiées de catégorie 1 en circulation. Ces dividendes seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 30 septembre 2020 ou le premier jour ouvrable suivant, à l'actionnaire inscrit le 15 septembre 2020.
Puisque les dividendes sur les actions privilégiées pour le troisième trimestre de 2020 ont été déclarés après le 30 juin 2020, leur montant n'a pas été inscrit au passif du bilan.
Résultats des secteurs d'activité pour le deuxième trimestre et le semestre clos le 30 juin 20201, 2
Services aux entreprises (« SE »)
Le total du résultat d'exploitation s'est dégagé à 229 M$, pour le deuxième trimestre de 2020, s'étant replié de 25 M$, ou 9,8 %, sur un an, et pour le semestre, il a été de 495 M$, ce qui représente un recul de 14 M$, ou 2,8 %.
La COVID-19 a nui au résultat du trimestre et du semestre, les réductions de taux par les banques centrales ayant comprimé les marges sur les dépôts et l'augmentation des coûts associée au maintien de liquidités plus élevées ayant réduit les marges sur les prêts au deuxième trimestre. Malgré la volatilité des marchés, les SE ont continué de soutenir leur clientèle tout au long de la période, et le solde de leurs prêts et dépôts a augmenté en regard de ce qu'il était un an plus tôt. Plus particulièrement, les dépôts ont connu une forte hausse, leurs soldes ayant augmenté de 2,9 G$ depuis le début du présent exercice.
La détérioration des données économiques prospectives en raison de la pandémie de COVID-19 et le recul des prix du pétrole ont influé sur les pertes de valeur au semestre à l'étude. Nous continuons d'aider nos clients à combler leurs besoins en fonds de roulement, leur offrant notamment de reporter leurs paiements afin de mieux traverser la crise actuelle.
Pour le deuxième trimestre de 2020, une perte avant la charge d'impôt sur le résultat de 14 M$ a été constatée, ce qui signale une détérioration de 138 M$, ou 111 %, en regard d'un an plus tôt, et pour le semestre, un bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat de 33 M$ a été inscrit, pour un fléchissement de 258 M$, ou 89 %. Ces résultats sont essentiellement imputables à une forte hausse des pertes de crédit attendues et au recul des produits d'intérêts nets, facteurs neutralisés en partie par le recul des charges d'exploitation.
Services bancaires internationaux et marchés (« SBIM »)
Le total du résultat d'exploitation a été de 101 M$ pour le deuxième trimestre de 2020, ayant progressé de 15 M$, ou 17 %, comparativement au trimestre correspondant de 2019. Pour le semestre, le total du résultat d'exploitation s'est situé à 177 M$, en baisse de 2 M$, ou 1,1 %. Le niveau des activités de négociation et de vente de l'unité Marchés est demeuré élevé au cours du trimestre et les variations des évaluations du crédit et du financement ont été favorables, ce qui a haussé les produits tirés des activités de négociation. Le résultat du semestre a été affaibli par des variations défavorables des évaluations du crédit et du financement au premier trimestre, celles-ci ayant résulté de l'élargissement des écarts de crédit et de la volatilité accrue des marchés qu'a engendrée la COVID-19.
Face aux perturbations et à l'instabilité des marchés associées à la COVID-19, les équipes des Services bancaires internationaux et marchés ont travaillé en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques qu'ils devaient relever et de les aider à traverser la crise. Ce travail a intensifié les activités des clients et a haussé les produits générés par toutes les gammes de produits, ce qui a résulté surtout des activités de négociation et de vente de l'unité Marchés, des activités d'octroi de prêts et des commissions de prise ferme puisque nous avons continué de tirer parti du réseau mondial du Groupe pour offrir des produits et des solutions répondant aux besoins de nos clients internationaux.
Pour le deuxième trimestre de 2020, le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est dégagé à 27 M$, s'étant comprimé de 10 M$, ou 27 %, sur un an, et pour le semestre, il s'est dégagé à 46 M$, ce qui traduit un recul de 42 M$, ou 48 %. Ces baisses ont découlé surtout de l'augmentation des charges au titre des pertes de crédit attendues à cause des répercussions de la COVID-19 ainsi que des ajustements défavorables liés au crédit et au financement au premier trimestre.
Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)3
Le total du résultat d'exploitation a été de 180 M$ pour le deuxième trimestre de 2020, ce qui signale un recul de 23 M$, ou 11 %, en regard du trimestre correspondant de 2019. Le total du résultat d'exploitation du semestre s'est chiffré à 387 M$, ayant régressé de 14 M$, ou 3,5 %. L'augmentation des produits de commissions nets et la forte hausse des volumes associés au solde de la relation globale des clients4 ont été plus qu'annulées par le recul des produits d'intérêts nets qu'ont causé les réductions de taux par les banques centrales et par la hausse des coûts associés au maintien de liquidités plus élevées.
L'essor du solde de la relation globale des clients4 a été sans précédent5. Nous avons élargi l'ensemble de notre clientèle et celle à l'échelle internationale, avons investi dans nos succursales et les technologies numériques et avons offert des produits compétitifs sur le marché. Malgré la conjoncture difficile engendrée par la COVID-19, nous avons continué de servir nos clients et de les soutenir en maintenant nos succursales, nos plateformes numériques et nos centres d'appels pleinement opérationnels tout en instaurant diverses initiatives, dont des options de report des paiements.
Pour le deuxième trimestre de 2020, le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est dégagé à 14 M$, s'étant contracté de 5 M$, ou 26 %, sur un an, et ce, en raison de la baisse des produits d'intérêts nets, tel qu'il a été indiqué précédemment, et de l'augmentation des pertes de crédit attendues. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par le recul des charges d'exploitation. Pour le semestre, le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat a atteint 43 M$, s'étant renforcé de 4 M$, ou 10 %, puisque la diminution des produits d'intérêts nets et la hausse des pertes de crédit attendues en raison de l'incidence de la COVID-19 ont été plus qu'annulées par la baisse des charges d'exploitation et par la hausse des produits de commissions nets.
Centre général
La perte avant la charge d'impôt sur le résultat a été de 19 M$ au deuxième trimestre de 2020 et de 35 M$ pour le semestre, ce qui signale des détériorations de 7 M$, ou 58 %, et de 14 M$, ou 67 %, respectivement, sur un an. Ces résultats ont découlé essentiellement du recul des produits d'intérêts nets en raison de l'augmentation des coûts associés aux liquidités, ce qui a été atténué par la hausse des autres produits d'exploitation provenant d'un profit à l'extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui ont été rachetées.
1 |
Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2020 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire). |
2 |
Au deuxième trimestre de 2020, nous avons modifié nos secteurs isolables en réaffectant les activités de gestion du bilan du secteur « centre général » aux secteurs d'activité mondiaux de sorte à assurer une corrélation plus étroite entre les produits et charges et les secteurs qui génèrent de telles activités ou qui y ont recours; par conséquent le « centre général » n'est plus considéré comme un secteur d'activité. Tous les chiffres correspondants ont été retraités. |
3 |
Au deuxième trimestre de 2020, le Groupe HSBC Holdings (le « Groupe HSBC ») a regroupé les Services bancaires de détail et gestion de patrimoine et les Services de banque privée de sorte à former l'une des plus grandes entreprises de gestion de patrimoine au monde, soit Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. En conséquence, le nom de notre secteur d'activité mondial des services bancaires de détail et gestion de patrimoine (« SBDGP ») a été changé pour celui de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »). La Banque HSBC Canada n'avait pas de secteur d'activité distinct offrant des services de banque privée et c'est pourquoi le changement de structure n'a donné lieu à aucune modification de l'actif, du passif, des produits ou des charges qui, auparavant, étaient attribuables au secteur des SBDGP. |
4 |
Le solde de la relation globale des clients se compose des soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine. |
5 |
Record semestriel depuis la formation de GPSBP (antérieurement SBDGP) en tant que secteur d'activité mondial distinct en 2011. |
Banque HSBC Canada |
Faits saillants financiers |
||||
(Montants en M$, sauf indication contraire) |
|||||
Performance et situation financières |
|||||
Trimestre clos le |
Semestre clos le |
||||
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
||
Performance financière de la période |
|||||
Total du résultat d'exploitation |
502 |
545 |
1 048 |
1 090 |
|
Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat |
8 |
168 |
87 |
397 |
|
Bénéfice/(perte) attribuable à l'actionnaire ordinaire |
(8) |
112 |
46 |
270 |
|
Variation des pertes de crédit attendues et autres pertes de valeur liées au crédit - (charge) |
(190) |
(40) |
(330) |
(28) |
|
Charges d'exploitation |
(304) |
(337) |
(631) |
(665) |
|
Bénéfice de base et dilué par action ordinaire ($) |
(0,01) |
0,22 |
0,09 |
0,54 |
|
Mesures financières (%)1 |
|||||
Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire |
(0,6) |
9,1 |
1,7 |
11,2 |
|
Rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques2 |
0,1 |
1,6 |
0,4 |
1,9 |
|
Ratio d'efficience |
60,6 |
61,8 |
60,2 |
61,0 |
|
Levier d'exploitation |
1,9 |
(5,3) |
1,3 |
(3,9) |
|
Marge d'intérêts nette |
0,93 |
1,40 |
1,12 |
1,45 |
|
Variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations |
1,13 |
0,3 |
0,99 |
0,09 |
|
Variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations |
0,32 |
0,10 |
0,27 |
0,06 |
|
Total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et des acceptations de stade 3 |
43,6 |
29,0 |
43,6 |
29,0 |
|
Sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances et des acceptations |
0,10 |
0,08 |
0,11 |
0,09 |
Mesures financières et mesures du capital |
||
Au |
||
30 juin 2020 |
31 déc. 2019 |
|
Situation financière à la clôture de la période |
||
Total de l'actif |
124 621 |
106 571 |
Prêts et avances à des clients |
62 263 |
61 922 |
Comptes des clients |
71 704 |
62 889 |
Ratio des prêts et avances à des clients en pourcentage des comptes des clients (%)1 |
86,8 |
98,5 |
Capitaux propres attribuables à l'actionnaire ordinaire |
5 619 |
5 009 |
Mesures du capital2 |
||
Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 (%) |
12,3 |
11,3 |
Ratio du capital de catégorie 1 (%) |
14,8 |
13,9 |
Ratio du capital total (%) |
17,1 |
16,4 |
Ratio de levier (%) |
5,5 |
4,9 |
Actifs pondérés en fonction des risques (M$) |
43 731 |
42 080 |
Ratio de liquidité à court terme (%) |
193 |
140 |
1 |
Pour évaluer sa performance, la banque utilise, entre autres, des mesures financières dérivées des résultats qu'elle publie. Or, ces mesures ne sont ni présentées dans les états financiers consolidés ni définies aux termes des IFRS. Elles sont considérées comme non conformes aux IFRS; il est donc improbable qu'elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d'autres entreprises. Pour plus d'informations au sujet des mesures non conformes aux IFRS, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières non conformes aux IFRS » du rapport de gestion qui est joint aux états financiers consolidés résumés intermédiaires non audités du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2020. |
2 |
La banque évalue l'adéquation de ses fonds propres en fonction de normes issues des lignes directrices émises par le BSIF conformément au cadre d'adéquation des fonds propres de Bâle III. |
Banque HSBC Canada |
État consolidé du résultat net |
||||||
(Montants en M$, sauf les montants par action) |
Trimestre clos le |
Semestre clos le |
|||||
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
||||
Produits d'intérêts |
530 |
703 |
1 198 |
1 383 |
|||
Charges d'intérêts |
(281) |
(384) |
(631) |
(741) |
|||
Produits d'intérêts nets |
249 |
319 |
567 |
642 |
|||
Produits de commissions |
198 |
199 |
399 |
378 |
|||
Charges de commissions |
(20) |
(25) |
(43) |
(48) |
|||
Produits de commissions nets |
178 |
174 |
356 |
330 |
|||
Produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction |
47 |
33 |
73 |
81 |
|||
Profits diminués des pertes liés aux placements financiers |
14 |
10 |
30 |
18 |
|||
Autres produits d'exploitation |
14 |
9 |
22 |
19 |
|||
Total du résultat d'exploitation |
502 |
545 |
1 048 |
1 090 |
|||
Variation des pertes de crédit attendues et autres pertes de valeur liées au crédit |
(190) |
(40) |
(330) |
(28) |
|||
Résultat d'exploitation net |
312 |
505 |
718 |
1 062 |
|||
Rémunération et avantages du personnel |
(145) |
(171) |
(314) |
(345) |
|||
Charges générales et administratives |
(132) |
(141) |
(262) |
(272) |
|||
Amortissement des immobilisations corporelles |
(17) |
(17) |
(37) |
(35) |
|||
Amortissement et pertes de valeur des immobilisations incorporelles |
(10) |
(8) |
(18) |
(13) |
|||
Total des charges d'exploitation |
(304) |
(337) |
(631) |
(665) |
|||
Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat |
8 |
168 |
87 |
397 |
|||
Charge d'impôt sur le résultat |
(3) |
(47) |
(16) |
(109) |
|||
Bénéfice de la période |
5 |
121 |
71 |
288 |
|||
Bénéfice/(perte) attribuable à l'actionnaire ordinaire |
(8) |
112 |
46 |
270 |
|||
Bénéfice attribuable au détenteur d'actions privilégiées |
13 |
9 |
25 |
18 |
|||
Bénéfice attribuable à l'actionnaire |
5 |
121 |
71 |
288 |
|||
Nombre moyen d'actions ordinaires en circulation (en milliers) |
548 668 |
498 668 |
524 217 |
498 668 |
|||
Bénéfice de base et dilué par action ordinaire ($) |
(0,01) |
0,22 |
0,09 |
0,54 |
|||
Banque HSBC Canada |
Bilan consolidé |
||
Au |
|||
(Montants en M$) |
30 juin 2020 |
31 déc. 2019 |
|
ACTIF |
|||
Trésorerie et soldes détenus dans les banques centrales |
12 743 |
54 |
|
Effets en cours de compensation auprès d'autres banques |
18 |
15 |
|
Actifs détenus à des fins de transaction |
3 131 |
4 322 |
|
Autres actifs financiers devant obligatoirement être évalués à la juste valeur par le biais |
7 |
5 |
|
Dérivés |
6 635 |
3 267 |
|
Prêts et avances à des banques |
1 086 |
1 169 |
|
Prêts et avances à des clients |
62 263 |
61 922 |
|
Prises en pension à des fins autres que de transaction |
9 974 |
6 269 |
|
Placements financiers |
21 321 |
23 645 |
|
Autres actifs |
2 786 |
1 580 |
|
Paiements anticipés et produits à recevoir |
214 |
241 |
|
Engagements de clients en contrepartie d'acceptations |
3 799 |
3 500 |
|
Actifs d'impôt exigible |
27 |
26 |
|
Immobilisations corporelles |
331 |
339 |
|
Goodwill et immobilisations incorporelles |
163 |
155 |
|
Actifs d'impôt différé |
123 |
62 |
|
Total de l'actif |
124 621 |
106 571 |
|
PASSIF ET CAPITAUX PROPRES |
|||
Passif |
|||
Dépôts effectués par des banques |
1 420 |
1 036 |
|
Comptes des clients |
71 704 |
62 889 |
|
Mises en pension à des fins autres que de transaction |
4 226 |
7 098 |
|
Effets en transit vers d'autres banques |
186 |
225 |
|
Passifs détenus à des fins de transaction |
2 477 |
2 296 |
|
Dérivés |
6 878 |
3 431 |
|
Titres de créance émis |
21 629 |
14 594 |
|
Autres passifs |
3 647 |
3 384 |
|
Acceptations |
3 820 |
3 505 |
|
Charges à payer et produits différés |
487 |
600 |
|
Passifs au titre des prestations de retraite |
275 |
265 |
|
Créances subordonnées |
1 011 |
1 033 |
|
Provisions |
76 |
41 |
|
Passifs d'impôt exigible |
66 |
65 |
|
Total du passif |
117 902 |
100 462 |
|
Capitaux propres |
|||
Actions ordinaires |
1 725 |
1 225 |
|
Actions privilégiées |
1 100 |
1 100 |
|
Autres réserves |
272 |
39 |
|
Résultats non distribués |
3 622 |
3 745 |
|
Total des capitaux propres |
6 719 |
6 109 |
|
Total du passif et des capitaux propres |
124 621 |
106 571 |
Banque HSBC Canada |
Information par secteur d'activité mondial (non audité)1 |
||||||
(Montants en M$) |
Trimestre clos le |
Semestre clos le |
|||||
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
30 juin 2020 |
30 juin 2019 |
||||
Services aux entreprises |
|||||||
Produits d'intérêts nets |
131 |
156 |
288 |
316 |
|||
Produits autres que d'intérêts |
98 |
98 |
207 |
193 |
|||
Total du résultat d'exploitation |
229 |
254 |
495 |
509 |
|||
Variation des charges au titre des pertes de crédit attendues |
(147) |
(26) |
(264) |
(12) |
|||
Résultat d'exploitation net |
82 |
228 |
231 |
497 |
|||
Total des charges d'exploitation |
(96) |
(104) |
(198) |
(206) |
|||
Bénéfice/(perte) avant la charge d'impôt sur le résultat |
(14) |
124 |
33 |
291 |
|||
Services bancaires internationaux et marchés |
|||||||
Produits d'intérêts nets |
28 |
32 |
67 |
65 |
|||
Produits autres que d'intérêts |
73 |
54 |
110 |
114 |
|||
Total du résultat d'exploitation |
101 |
86 |
177 |
179 |
|||
Variation des charges au titre des pertes de crédit attendues |
(35) |
(8) |
(49) |
(9) |
|||
Résultat d'exploitation net |
66 |
78 |
128 |
170 |
|||
Total des charges d'exploitation |
(39) |
(41) |
(82) |
(82) |
|||
Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat |
27 |
37 |
46 |
88 |
|||
Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers2 |
|||||||
Produits d'intérêts nets |
108 |
137 |
240 |
274 |
|||
Produits autres que d'intérêts |
72 |
66 |
147 |
127 |
|||
Total du résultat d'exploitation |
180 |
203 |
387 |
401 |
|||
Variation des charges au titre des pertes de crédit attendues |
(8) |
(6) |
(17) |
(7) |
|||
Résultat d'exploitation net |
172 |
197 |
370 |
394 |
|||
Total des charges d'exploitation |
(158) |
(178) |
(327) |
(355) |
|||
Bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat |
14 |
19 |
43 |
39 |
|||
Centre général |
|||||||
Produits d'intérêts nets |
(18) |
(6) |
(28) |
(13) |
|||
Produits autres que d'intérêts |
10 |
8 |
17 |
14 |
|||
Résultat d'exploitation net/(perte) |
(8) |
2 |
(11) |
1 |
|||
Total des charges d'exploitation |
(11) |
(14) |
(24) |
(22) |
|||
Bénéfice/(perte) avant la charge d'impôt sur le résultat |
(19) |
(12) |
(35) |
(21) |
1 |
Au deuxième trimestre de 2020, nous avons modifié nos secteurs isolables en réaffectant les activités de gestion du bilan du secteur « centre général » aux secteurs d'activité mondiaux de sorte à assurer une corrélation plus étroite entre les produits et charges et les secteurs qui génèrent de telles activités ou qui y ont recours; par conséquent le « centre général » n'est plus considéré comme un secteur d'activité. Tous les chiffres correspondants ont été retraités. |
2 |
Au deuxième trimestre de 2020, le Groupe HSBC Holdings (le « Groupe HSBC ») a regroupé les Services bancaires de détail et gestion de patrimoine et les Services de banque privée de sorte à former l'une des plus grandes entreprises de gestion de patrimoine au monde, soit Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. En conséquence, le nom de notre secteur d'activité mondial des services bancaires de détail et gestion de patrimoine (« SBDGP ») a été changé pour celui de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »). La Banque HSBC Canada n'avait pas de secteur d'activité distinct offrant des services de banque privée et c'est pourquoi le changement de structure n'a donné lieu à aucune modification de l'actif, du passif, des produits ou des charges qui, auparavant, étaient attribuables au secteur des SBDGP. |
Renseignements relatifs à la Banque HSBC Canada
La Banque HSBC Canada, filiale de HSBC Holdings plc, est le chef de file des banques internationales au pays. Nous aidons des entreprises et des particuliers partout au Canada à faire des affaires et à gérer leurs finances à l'échelle mondiale par l'entremise de trois secteurs d'activité mondiaux, soit les Services aux entreprises, les Services bancaires internationaux et marchés et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers1. Le siège social de HSBC Holdings plc, société mère du Groupe HSBC, est à Londres. HSBC sert des clients du monde entier à partir de ses bureaux répartis dans 64 pays et territoires en Europe, en Asie, dans les Amériques, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. HSBC est l'un des plus importants établissements de services bancaires et financiers au monde, ses actifs totalisant 2 923 G$ US au 30 juin 2020.
Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.hsbc.ca ou suivez-nous sur Twitter : @hsbc_ca ou sur Facebook : @HSBCCanada.
Mise en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent document renferme des informations prospectives, dont des énoncés concernant les activités et projets futurs de la banque. Ces énoncés se caractérisent par le fait qu'ils ne reposent pas strictement sur des données ou événements passés ou en cours. Des énoncés prospectifs renferment souvent des termes ou expressions comme « prévoir », « estimer », « s'attendre à », « projeter », « avoir l'intention de », « planifier » et « croire », ainsi que des mots ou expressions similaires qui sont employés pour décrire le rendement financier ou opérationnel à venir. De par leur nature même, ces énoncés nous obligent à poser plusieurs hypothèses et sont assujettis à divers risques et incertitudes qui leur sont inhérents et qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux envisagés dans les énoncés prospectifs. Nous prions le lecteur de ne pas se fier indûment à ces énoncés puisque de nombreux facteurs de risque pourraient donner lieu à des résultats réels nettement différents des attentes exprimées par les énoncés. Dans le rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2019, la rubrique « Gestion des risques » décrit les principaux risques auxquels la banque est exposée, risques qui, s'ils ne sont pas gérés comme il se doit, pourraient influer grandement sur ses résultats financiers à venir. Ces risques comprennent les risques de crédit, de liquidité et de financement ainsi que de marché, le risque lié à la résilience, le risque de non-conformité à la réglementation, le risque lié aux crimes financiers, le risque lié aux modèles et le risque lié à la caisse de retraite. Les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent nettement des attentes exprimées par les énoncés prospectifs comprennent la conjoncture économique dans son ensemble et les conditions de marché, les politiques budgétaires et monétaires, les modifications des lois, de la réglementation et de l'approche de supervision, le degré de concurrence et les technologies de rupture, les modifications de nos notations de crédit, le risque lié aux changements climatiques, la transition visant les taux interbancaires offerts («TIO ») ainsi que d'autres risques comme les changements touchant les normes comptables, les changements de taux d'imposition, les changements de lois et règlements fiscaux, notre capacité de recruter, de perfectionner et de retenir du personnel clé, le risque de fraude de la part d'employés ou d'autres parties, les transactions non autorisées et réalisées par le personnel et l'erreur humaine. Malgré les plans d'urgence que nous avons instaurés afin d'assurer notre résilience advenant des perturbations opérationnelles à la fois prolongées et majeures, notre capacité d'exercer nos activités pourrait souffrir d'une défaillance dans les infrastructures qui soutiennent nos activités et les collectivités avec lesquelles nous faisons des affaires, incluant, sans toutefois s'y limiter, une défaillance provoquée par une urgence de santé publique, une catastrophe écologique ou un acte terroriste. La rubrique « Facteurs susceptibles d'avoir une incidence sur les résultats futurs » du rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2019 renferme une description de ces facteurs de risque. Nous tenons à aviser le lecteur que la liste de facteurs de risque présentée ci-dessus n'est pas exhaustive et qu'il se peut que d'autres incertitudes et facteurs éventuels non mentionnés aux présentes nuisent à nos résultats et à notre situation financière. Tout énoncé prospectif paraissant dans ce document n'est valable qu'en date de celui-ci. Nous ne nous engageons nullement à réviser, à mettre à jour ou à modifier les énoncés prospectifs en raison de nouvelles informations, d'événements ultérieurs ou d'autres circonstances, et nous déclinons expressément toute obligation de le faire, sauf dans la mesure où les lois pertinentes sur les valeurs mobilières nous y contraignent.
1 |
Au deuxième trimestre de 2020, le Groupe HSBC Holdings (le « Groupe HSBC ») a regroupé les Services bancaires de détail et gestion de patrimoine et les Services de banque privée de sorte à former l'une des plus grandes entreprises de gestion de patrimoine au monde, soit Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. En conséquence, le nom de notre secteur d'activité mondial des services bancaires de détail et gestion de patrimoine (« SBDGP ») a été changé pour celui de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »). La Banque HSBC Canada n'avait pas de secteur d'activité distinct offrant des services de banque privée et c'est pourquoi le changement de structure n'a donné lieu à aucune modification de l'actif, du passif, des produits ou des charges qui, auparavant, étaient attribuables au secteur des SBDGP. |
SOURCE HSBC Bank Canada
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