Roche a reçu l'approbation de Santé Canada pour son test quantitatif de la charge virale du Cytomégalovirus English
Santé Canada a homologué le premier test d'ADN CMV qui rencontre la norme Internationale de l'OMS pour la quantification du CMV. Ce premier test CMV est d'une valeur clinique considérable pour la gestion de l'état de santé des patients soumis à une thérapie antivirale en raison d'une greffe d'organe solide
LAVAL, QC, le 8 nov. 2012 /CNW Telbec/ - Roche (SIX: RO ROG) (OTCQX: RHHBY) a fait aujourd'hui l'annonce de l'approbation par Santé Canada d'un nouveau test permettant l'évaluation quantitative de la charge virale du cytomégalovirus (CMV) chez un patient greffé. Le test COBAS®AmpliPrep / COBAS® TaqMan® CMV entièrement automatisé est le premier test conforme à la norme Internationale de l'OMS pour la quantification de l'ADN CMV dans des échantillons de plasma humain, auquel Santé Canada ait accordé son approbation. Les cliniciens utilisent les données relatives à la charge virale d'ADN CMV pour la gestion de la condition des patients chez qui ils ont diagnostiqué une infection au CMV et qui sont soumis à une thérapie d'immunosuppression en rapport avec une greffe d'organe solide.
« Ce premier test CMV est une innovation clinique remarquable qui va nettement améliorer les soins prodigués aux patients receveurs d'un organe solide », a déclaré Ian Parfrement, président et directeur général de Roche Diagnostics Canada. « Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux laboratoires canadiens un test quantitatif de la charge virale du CMV qui est approuvé par Santé Canada et qui, par ses caractéristiques de standardisation et d'automatisation, va contribuer à une amélioration de la cadence de travail au laboratoire. »
À propos du test
Le test COBAS® AmpliPrep / COBAS® TaqMan® CMV est destiné à être utilisé en complément du tableau clinique et d'autres marqueurs biologiques pour le traitement de l'infection par le CMV chez les patients présentant un risque d'infection CMV. Ce test peut également servir à évaluer la réponse à un traitement antiviral auprès de cette population. Le test répond à la première norme Internationale de l'OMS au sujet des techniques d'amplification des acides nucléiques pour le cytomégalovirus humain (NIBSC 09/162) et s'est révélé fiable pour le suivi des infections CMV.
À propos du système COBAS® AmpliPrep / COBAS® TaqMan®
Le système entièrement automatisé COBAS AmpliPrep / COBAS TaqMan® de Roche combine l'instrument COBAS AmpliPrep dédié pour la préparation automatisée des échantillons et l'analyseur COBAS TaqMan® ou l'analyseur de plus petite taille COBAS TaqMan® 48 pour l'amplification de la PCR en temps réel et la détection automatisée. Le système COBAS AmpliPrep / COBAS TaqMan® permet le traitement en parallèle des autres tests clés disponibles en moléculaires ciblant des maladies médicalement pertinentes (virus de l'hépatite B, virus de l'hépatite C, et virus de l'immunodéficience humaine). L'enzyme brevetée AmpErase® de Roche est également incluse dans chacun des tests et vise à prévenir la contamination croisée en détruisant tout amplicon précédemment généré.
À propos du cytomégalovirus
Le CMV constitue l'infection virale la plus importante et la plus fréquente chez les receveurs d'organes solides. Le virus peut être transmit par l'organe du donneur, provoquant une infection au CMV et le développement de la maladie, ou il peut être réactivé chez des patients greffés qui avaient déjà contracté une infection au CMV avant la transplantation. La maladie CMV chez les patients receveurs d'organes peut être comparée à la mononucléose infectieuse accompagnée par la fièvre ou par des manifestations plus graves affectant les poumons ou l'appareil gastro-intestinal. On estime que 50 à 80% de la population canadienne est affectée par le CMV. Bien que les personnes en santé manifestent peu de symptômes lors de l'infection initiale, le virus subsiste sous une forme latente dans leur organisme pour le reste de leur vie. Le virus peut ainsi être transmis lors d'un don d'organe et provoquer une infection chez le receveur, ou il peut être réactivé et causer une maladie symptomatique.
À propos de Roche
Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l'industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour le traitement du cancer, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d'améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2011, Roche, qui comptait plus de 80 000 employés dans le monde, a consacré à la R&D plus de 8 milliards de francs. Le Groupe a affiché des ventes de 42,5 milliards de francs suisses. Genentech, États-Unis, appartient entièrement au groupe Roche, qui détient en outre une participation majoritaire au capital de Chugai Pharmaceutical, Japon. Fondée en 1931, Roche Canada emploie environ 900 personnes dans l'ensemble du pays. Le siège social de sa division pharmaceutique est situé à Mississauga (Ontario), tandis que celui de sa division diagnostique se trouve à Laval (Québec). Roche Canada joue un rôle actif dans les collectivités locales, comme en témoignent ses dons aux organismes caritatifs et ses partenariats avec des établissements de soins de santé de partout au pays. Pour plus d'information, visitez le site www.rochecanada.com.
Tous les noms de marque mentionnés sont protégés par la loi.
SOURCE : Roche Diagnostics
Mélanie Lussier
Communications
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