Santé Canada approuve un nouveau traitement destiné aux adultes atteints de
diabète de type 2
L'approbation d'ONGLYZA(MC) (saxagliptine) coincide avec une nouvelle étude qui révèle que 91 % des Canadiens ayant le diabète ont de la difficulté à prendre en charge leur maladie
MONTRÉAL et
"Le diabète est une maladie évolutive que les patients trouvent difficile à prendre en charge efficacement. Si la glycémie est élevée, le diabète peut entraîner des complications graves après un certain temps. Par exemple, au Québec, plus de 70 % des diabétiques seront emportés par une maladie cardiovasculaire, soit le double du taux observé chez les non-diabétiques, a expliqué le Dr Jean-François Yale, professeur au Centre de nutrition et des sciences de l'alimentation de la Faculté de médecine de l'Université McGill. Le risque de développer d'autres problèmes de santé s'abaisse significativement lorsque le taux cible d'HbA1c est atteint. Grâce à de nouveaux traitements, les médecins peuvent aider leurs patients à atteindre l'équilibre glycémique et à améliorer leur qualité de vie."
Les Canadiens atteints de diabète croient que la prise en charge de leur maladie est efficace, mais en réalité, celle-ci laisse à désirer.
Un sondage mené récemment à l'échelle nationale auprès d'adultes atteints de diabète de type 2 révèle que 87 % des diabétiques croient prendre en charge leur maladie de manière efficace. Cependant, dans une proportion encore plus élevée, soit 91 %, les répondants admettent ne pas s'être conformés entièrement aux recommandations de l'Association canadienne du diabète en matière de modification du mode de vie(3).
Le sondage révèle que les Canadiens commencent à délaisser leurs saines habitudes en faveur d'habitudes malsaines en moyenne 21 mois après le diagnostic. Par exemple, 76 % des répondants ont affirmé avoir modifié leur alimentation au moment du diagnostic. Toutefois, en l'espace de 14 mois, 74 % avaient repris leurs anciennes habitudes alimentaires. Ce changement de comportement chez les répondants était accompagné de sentiments de frustration et de colère (45 %), de culpabilité et de gêne (36 %) ou de dépression et de tristesse (32 %) au fur et à mesure que s'estompait l'adhérence aux bonnes habitudes.
"Le sondage a permis d'identifier un stade critique durant le cheminement du patient au cours duquel la motivation décline. À ce stade, il est primordial d'accroître le soutien et de renouveler l'engagement pour assurer une prise en charge efficace et prévenir les complications à long terme", indique le Dr Michael Vallis, psychologue au
Voici d'autres faits saillants du sondage :
- Comparativement aux résidants des autres régions, les Québécois se sentent plus poussés par leur médecin à maintenir les changements qu'ils ont apportés à leur mode de vie (85 % comparativement à 47 % des résidants de la Saskatchewan et du Manitoba). - Les Ontariens atteints de diabète de type 2 sont les moins enclins de toutes les régions à prendre leur médicament comme prescrit (66 % comparativement à 82 % au Québec et dans l'Atlantique). - Les résidants de la Colombie-Britannique et de l'Ontario qui vivent avec le diabète de type 2 ont le plus tendance à croire qu'il est important de faire de l'exercice physique (95 % dans les deux provinces). Toutefois, ce sont ceux qui sont les plus enclins à abandonner leur programme d'exercices (71 % en Colombie-Britannique et 69 % en Ontario). - Moins d'un Albertain sur trois atteints de diabète de type 2 (28 %) affirment maintenir un poids santé en tout temps. Même s'ils négligent la prise en charge de leur diabète, 75 % ne pensent pas que leur santé s'aggrave. - Les résidants de l'Atlantique ont plus tendance que les résidants des autres provinces du Canada à abandonner lentement la prise en charge de leur diabète, d'après la mesure des changements suivants au mode de vie : - Suivre un plan de repas équilibrés : La probabilité que les résidants de l'Atlantique suivent un plan de repas équilibrés est la moitié (15 %) de celle des résidants de la Saskatchewan et du Manitoba (32 %) - Maintien d'un poids santé : Seuls 12 % des résidants de l'Atlantique affirment se plier à cette recommandation de changement au mode de vie comparativement à 28 % des Albertains.
Une nouvelle option thérapeutique pour les patients dont le diabète n'est pas bien maîtrisé par le traitement de première intention
ONGLYZA est un inhibiteur de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) qui agit en influençant l'action d'hormones appelées incrétines pour accroître la production d'insuline dans le pancréas et réduire la production de glucose dans le foie(4). Il est prescrit aux patients chez qui le traitement de première intention, le régime alimentaire et l'exercice seuls ne permettent pas d'équilibrer la glycémie de manière satisfaisante(5). La majorité des répondants au sondage (83 %) ont indiqué qu'ils ne souhaitent pas avoir recours à l'insuline pour maîtriser leur diabète.
"Au
"Mis au point en collaboration par Bristol-Myers Squibb et AstraZeneca, ONGLYZA repose sur les forces des deux entreprises et constitue le premier jalon de notre engagement conjoint à soutenir les progrès dans cet important champ thérapeutique", indique
Le diabète est une maladie chronique complexe dont l'incidence augmente à un rythme alarmant. On estime qu'en 2010, 3 millions de personnes seront atteints de diabète(6) au
Données cliniques à l'appui
Chez les patients atteints de diabète de type 2, l'ajout d'ONGLYZA (5 mg) à la metformine ou à une sulfonylurée a amélioré de façon statistiquement significative l'HbA1c, la glycémie à jeun et la glycémie postprandiale, y compris la glycémie mesurée 2 heures après le début d'une épreuve d'hyperglycémie provoquée par voie orale, comparativement aux résultats obtenus avec la metformine ou une sulfonylurée seule(8). La dose recommandée chez l'adulte est de 5 mg, pris une fois par jour avec ou sans aliments(9).
À propos du sondage national
La firme Léger Marketing a mené cette étude au moyen d'un sondage Internet et téléphonique auprès de 1034 adultes (âgés d'au moins 18 ans) atteints de diabète de type 2 au
Au sujet de la collaboration entre Bristol-Myers Squibb et AstraZeneca
Bristol-Myers Squibb et AstraZeneca ont amorcé une collaboration en janvier 2007. Celle-ci permet aux deux entreprises de mener des recherches, de mettre au point et de commercialiser conjointement deux médicaments expérimentaux pour le traitement du diabète de type 2, soit la saxagliptine et la dapagliflozine. La collaboration entre Bristol-Myers Squibb et AstraZeneca dans le domaine du diabète est dédiée aux soins globaux aux patients, à l'amélioration de la santé et à la création d'une vision nouvelle du traitement du diabète de type 2. Elle repose sur l'engagement de ces deux compagnies à procurer des soins globaux aux patients et à améliorer les résultats thérapeutiques et elle est renforcée par leur vaste expérience collective dans le traitement des maladies cardiovasculaires.
Au sujet de Bristol-Myers Squibb
Bristol-Myers Squibb
Au sujet d'AstraZeneca
AstraZeneca est une importante entreprise internationale de soins de santé engagée dans la recherche, le développement, la fabrication et la commercialisation de produits pharmaceutiques sur ordonnance pertinents et la prestation de services de soins de santé. AstraZeneca est l'un des chefs de file de l'industrie pharmaceutique, comme en témoignent ses ventes de 31,6 milliards de dollars US et son imposante gamme de médicaments en gastro-entérologie, cardiologie, neurosciences, pneumologie, oncologie et infectiologie. Pour de plus amples renseignements, visitez le site Web de la société à www.astrazeneca.ca
ONGLYZA est une marque de commerce de Bristol-Myers Squibb.
---------------------------------- (1) Monographie, page 22. (2) Monographie, page 3. (3) Site Internet de l'Association canadienne du diabète, http://www.diabetes.ca/about-diabetes/living/just-diagnosed/type2/, consulté le 12 octobre 2009. (4) Monographie, page 16. (5) Monographie, page 3. (6) Site Internet de l'Association canadienne du diabète, http://www.diabetes.ca/about-diabetes/what/prevalence/, consulté le 30 septembre 2009. (7) Site Internet de l'Association canadienne du diabète, http://www.diabetes.ca/about-diabetes/what/prevalence/, consulté le 30 septembre 2009. (8) Monographie, page 22. (9) Monographie, page 14.
Renseignements: Valérie Dupuis, Fleishman-Hillard Canada, (514) 892-8005, [email protected]; Lee Rammage, AstraZeneca Canada, (905) 804-4913, [email protected]; Marc Osborne, Bristol-Myers Squibb Canada, (514) 333-2465, [email protected]
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