Selon un sondage de CareerBuilder.ca, plus d'un tiers des travailleurs canadiens ont fréquenté un ou une collègue de travail

-- Vingt pour cent des idylles au bureau impliquent quelqu'un qui est déjà marié

TORONTO, le 13 févr. 2014 /CNW/ - Vous êtes à la recherche de votre valentin? Selon une nouvelle étude de CareerBuilder.ca, le bureau est un excellent point de départ. Le sondage annuel de CareerBuilder sur les liaisons amoureuses au travail a permis de démontrer que plus d'un tiers (35 pour cent) des salariés canadiens ont fréquenté quelqu'un qui travaillait pour la même entreprise, et 15 pour cent ont indiqué l'avoir fait plus d'une fois.

Ce sondage national a été réalisé en ligne par Harris Poll pour le compte de CareerBuilder.ca du 6 novembre au 2 décembre 2013. L'enquête inclut un échantillon représentatif de 426 employés canadiens à temps plein, du secteur privé et provenant d'industries et d'entreprises de différentes tailles.

Mariage

Une nouvelle idylle au bureau peut même mener jusqu'à l'autel, ou possiblement au tribunal de divorce. Parmi ceux qui ont noué une liaison au bureau, un quart (25 pour cent) ont finalement épousé leur bien-aimé(e), alors que 17 pour cent ont affirmé soit être déjà mariés ou fréquenter un collègue marié au moment de l'aventure.

Sortir avec un supérieur

Un employé sur cinq (22 pour cent) ayant fréquenté un collègue de travail a affirmé que ce dernier ou cette dernière occupait un poste supérieur dans la hiérarchie de l'organisation pour laquelle il travaillait, certains ayant même fréquenté leur patron (12 pour cent). Cependant, seulement 2 pour cent des employés qui ont eu une idylle au bureau affirment que cette relation amoureuse les a aidés à mousser leur carrière.

Il y aura toujours la salle de dîner (ou) vous venez souvent ici?

Les idylles au bureau commencent la plupart du temps lorsque des collègues de travail se rencontrent à l'extérieur du bureau (14 pour cent), à l'heure du dîner (14 pour cent) ou au cours de longues soirées au travail (11 pour cent). Les autres situations propices à ce type de relations incluent les coups de foudre (8 pour cent), les apéritifs après le travail (6 pour cent), et les fêtes d'entreprise (3 pour cent).

Nos secrets intimes

La plupart des employés (66 pour cent) ayant fréquenté quelqu'un à leur bureau ont affirmé qu'ils n'avaient pas à garder cette liaison secrète. Seize pour cent ont déclaré qu'ils ont commencé une telle liaison lors d'une rencontre à l'extérieur de leur travail, alors que 11 pour cent dans la même situation ont préféré cacher cette relation amoureuse.

Trucs pour bien vivre une idylle au travail

• Recherche - La plupart des entreprises ont déjà des règlements concernant les relations au travail dans leurs manuels. Si vous songez à commencer une relation amoureuse avec un ou une collègue, consultez le service des ressources humaines ou le manuel des règlements.

• Faites preuve de prudence - Certaines idylles mènent au mariage, mais les autres s'exposent à un désastre. Sept pour cent des travailleurs ont dû quitter leurs emplois en raison d'une histoire d'amour au bureau. Prenez le temps de connaître d'abord la personne en question afin de bien mesurer les risques et les avantages.

• Cloisonnement - Sachez séparer votre vie professionnelle de votre vie personnelle. Évitez les marques d'affection en public au bureau. De la même façon, les désaccords personnels doivent rester dans la sphère du privée afin de ne pas impliquer d'autres collègues.

• Pensez avant de poster - Soyez prudent lorsque vous postez quoi que ce soit sur les réseaux sociaux. Vous pourriez mettre fin à cette relation avant même d'avoir pu en parler.

• Ne fréquentez pas votre patron - Abstenez-vous de fréquenter un subordonné direct. Non seulement cela pourrait vous faire perdre votre emploi, mais cela peut engendrer des questions éthiques pour les autres employés. S'il y a un intérêt réciproque entre un patron et un subalterne direct, l'une des deux personnes devrait envisager un transfert dans un autre département.

Méthodologie du sondage

Cette étude a été effectuée en ligne au Canada par Harris Poll pour le compte de CareerBuilder.ca auprès de 426 travailleurs canadiens (employés à temps plein; n'étant pas à leur compte; non gouvernementale) ayant atteint la majorité et qui étaient en sol canadien entre le 6 novembre et le 2 décembre 2013 (les pourcentages pour certaines questions sont déterminés par un sous-ensemble, en fonction de leurs réponses à certaines questions). Avec un échantillon aléatoire simple de 426, on pourrait dire que, dans une probabilité de 95 pour cent, l'ensemble des résultats aurait respectivement une erreur d'échantillonnage de +/- 4,75 points de pourcentage. L'erreur d'échantillonnage pour les données des sous-échantillons est plus importante et variable.

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SOURCE : CareerBuilder.ca

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