Semaine des inhalothérapeutes - La FSQ-CSQ souligne l'importance des
prochaines négociations
MONTRÉAL, le 4 oct. /CNW Telbec/ - "À l'instar d'autres professions dans le domaine de la santé, les inhalothérapeutes subissent des conditions de travail de plus en plus difficiles et ils espèrent que les prochaines négociations dans le secteur public au Québec seront l'occasion d'améliorer les choses."
La présidente de la Fédération de la santé du Québec (FSQ-CSQ), affiliée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Mme Monique Bélanger, saisit l'occasion de la tenue de la Semaine des inhalothérapeutes, du 4 au 10 octobre 2009, pour ramener à l'ordre du jour de l'actualité l'urgence d'améliorer la situation de ces travailleuses et travailleurs de la santé.
"La profession d'inhalothérapeute est peut-être moins connue que celles d'infirmière ou d'infirmière auxiliaire, mais il n'en demeure pas moins que les conditions de travail des inhalothérapeutes ne sont guère plus enviables que celles de leurs collègues de la santé. Ils doivent supporter quotidiennement eux aussi un fardeau de tâche beaucoup trop lourd et ils doivent se battre pour obtenir la reconnaissance à laquelle ils ont droit", déplore la présidente de la FSQ-CSQ, Mme Monique Bélanger.
Un problème de pénurie menaçant
Mme Bélanger soutient qu'il devient de plus en plus pressant pour le gouvernement d'améliorer la situation dans le secteur de la santé faute de quoi le problème de pénurie de personnel qui caractérise certaines professions risque de s'étendre à d'autres.
"Nous ne faisons pas encore face à un manque de personnel chez les inhalothérapeutes, mais la menace est réelle. Il est évident que s'il n'y a pas une amélioration des conditions de travail actuelles, la question de la rétention et de l'attraction du personnel va rapidement devenir un problème", soutient la présidente de la FSQ-CSQ.
Un discours décevant à l'approche des négociations
Par ailleurs, Mme Monique Bélanger se dit déçue du discours de
"Comme à chaque fois, crise économique ou pas, le gouvernement se lance dans une campagne de propagande pour convaincre l'opinion publique que l'État n'a pas les moyens d'améliorer le sort de ses employés. Mais cette fois-ci c'est encore plus choquant d'entendre les jérémiades d'un
Renseignements: Claude Girard, Agent d'information, CSQ, Cell.: (514) 237-4432, [email protected]
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