SNC-Lavalin annonce ses résultats du deuxième trimestre et du semestre terminés le 30 juin 2014 English
- Résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin de 126,7 millions $ au premier semestre de 2014, comparativement à 15,9 millions $ à la période correspondante de 2013;
- Baisse de 9,3 % des frais de vente, généraux et administratifs par rapport au premier semestre de 2013 (baisse de 8,9 % par rapport au deuxième trimestre de 2013);
- Ratio de 8,3 % du RAII(1) sur les produits au premier semestre de 2014;
- Coûts de 25,9 millions $ au deuxième trimestre de 2014, en lien avec l'entente en vue d'acquérir Kentz, dont une réévaluation à la valeur du marché sans effet de trésorerie de 20,4 millions $ d'une couverture de change;
- Carnet de commandes totalisant 8,2 milliards $, soit un niveau comparable à celui de la fin de 2013;
- Projets difficiles du passé représentant 601,9 millions $ du carnet de commandes, une diminution séquentielle de 17 %;
- Trésorerie et équivalents de trésorerie de 853,2 millions $;
- Entente conclue le 1er mai 2014 en vue de vendre une participation en capitaux propres de SNC-Lavalin dans AltaLink;
- Entente conclue le 23 juin 2014 en vue d'acquérir Kentz Corporation;
- Cible du RPA de 2014 maintenue à entre 2,80 $ et 3,05 $.
MONTRÉAL, le 8 août 2014 /CNW Telbec/ - Le Groupe SNC-Lavalin inc. (TSX: SNC) annonce aujourd'hui ses résultats du deuxième trimestre et du semestre terminés le 30 juin 2014.
(en milliers de dollars canadiens, à moins d'indication contraire) | Deuxième trimestre | Six mois terminés le 30 juin | |||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||
Produits par activité | |||||
Services | 558 585 | 723 090 | 1 062 190 | 1 373 761 | |
Ensembles | 625 020 | 736 935 | 1 235 176 | 1 460 357 | |
O&M | 284 027 | 298 361 | 659 207 | 681 236 | |
ICI | 228 831 | 184 980 | 460 039 | 328 268 | |
1 696 463 | 1 943 366 | 3 416 612 | 3 843 622 | ||
Résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin Provenant des activités d'I&C |
(46 860) | (104 679) | (16 057) | (86 094) | |
Provenant des activités d'ICI | 78 928 | 67 004 | 142 715 | 102 042 | |
Résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin | 32 068 | (37 675) | 126 658 | 15 948 | |
Résultat net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle | 65 | 193 | 167 | 270 | |
Résultat net | 32 133 | (37 482) | 126 825 | 16 218 | |
Résultat dilué par action ($) | 0,21 | (0,25) | 0,83 | 0,11 | |
Au 30 juin 2014 |
Au 31 déc. 2013 |
||||
Carnet de commandes par activité | |||||
Services | 1 526 000 | 1 629 600 | |||
Ensembles | 4 843 400 | 4 429 700 | |||
O&M | 1 843 800 | 2 228 500 | |||
8 213 200 | 8 287 800 | ||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie | 853 238 | 1 108 694 |
« Comme nous l'avons mentionné lors de notre Assemblée générale annuelle en mai dernier, 2014 est une année de reconstruction et nous continuons de faire des progrès à cet égard », a déclaré Robert G. Card, président et chef de la direction, Groupe SNC-Lavalin inc. « Au cours du deuxième trimestre, nous avons poursuivi la mise en œuvre de notre stratégie de croissance annoncée précédemment. L'entente en vue de vendre AltaLink et la proposition d'acquisition de Kentz sont des jalons importants du plan stratégique de SNC-Lavalin visant à transformer l'entreprise en chef de file mondial de l'ingénierie et de la construction. Un aspect crucial de cette transformation a été les efforts consacrés pour résoudre les problèmes liés à l'ancienne structure interne et aux processus du passé, repositionnant rapidement le profil de croissance et de risque de la Société, notamment grâce à ces deux transactions importantes. »
Résultats du deuxième trimestre
Au deuxième trimestre de 2014, la Société a déclaré un résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin de 32,1 millions $ (0,21 $ par action après dilution), comparativement à une perte nette de 37,7 millions $ (-0,25 $ par action après dilution) à la période correspondante de 2013.
La Société a déclaré une perte nette provenant des activités d'ingénierie et construction et d'exploitation et entretien (« I&C ») de 46,9 millions $, comparativement à une perte nette de 104,7 millions $ au deuxième trimestre terminé le 30 juin 2013. La perte nette provenant d'I&C au deuxième trimestre de 2014 était en partie attribuable à une réévaluation (évaluation à la valeur du marché) sans effet de trésorerie défavorable de 20,4 millions $ d'une couverture de change, ainsi qu'à un montant de 5,5 millions $ en honoraires et autres frais connexes, tous deux liés à l'entente en vue d'acquérir Kentz annoncée le 23 juin 2014 (l'Acquisition). Sans les coûts liés à cette acquisition, la perte nette provenant d'I&C au deuxième trimestre de 2014 s'établirait à 21,0 millions $. La baisse résultante de 83,7 millions $ de la perte nette provenant d'I&C au deuxième trimestre de 2014, par rapport au deuxième trimestre de 2013, est principalement attribuable à un RAII sectoriel négatif moins élevé provenant des secteurs Ressources, environnement et eau (« REE ») et Infrastructures, partiellement contrebalancé par un apport moins élevé du secteur Énergie. Le RAII négatif du secteur REE au deuxième trimestre de 2014 découle essentiellement d'un RAII négatif dans le sous-secteur Pétrole et gaz, tandis que le RAII négatif du secteur Infrastructures est attribuable à son sous-secteur Infrastructures et construction. La rentabilité de ces deux sous-secteurs continue d'être plombée par des projets à prix forfaitaire du passé. La perte nette enregistrée au deuxième trimestre de 2013 reflète principalement un RAII négatif dans les sous-secteurs Pétrole et gaz et Infrastructures et construction, le premier étant attribuable à une provision sans effet de trésorerie de 70,1 millions $ en lien avec une réclamation reçue alléguant des pénalités de retard dans le cadre d'un projet à prix forfaitaire en Algérie, et le dernier étant attribuable à une provision sans effet de trésorerie de 47,0 millions $ pour un projet en Libye, renversée au premier trimestre de 2014.
Le résultat net provenant des Investissements - concessions d'infrastructure (« ICI ») a augmenté pour s'établir à 78,9 millions $, comparativement à 67,0 millions $ au deuxième trimestre terminé le 30 juin 2013, principalement en raison d'un résultat net plus élevé provenant d'AltaLink et d'un dividende reçu plus élevé provenant de l'Autoroute 407, partiellement contrebalancés par un résultat net moins élevé provenant de Shariket Kahraba Hadjret En Nouss S.p.A. (« SKH »). La hausse du résultat net provenant d'AltaLink découle en partie d'une exigence comptable des IFRS, en vertu de laquelle la Société a cessé d'amortir les actifs non courants d'AltaLink à compter du 1er mai 2014, en raison de la classification des actifs et des passifs d'AltaLink à titre de groupe destiné à être cédé classé comme étant détenu en vue de la vente à cette date. Le résultat net provenant de SKH est moins élevé au deuxième trimestre de 2014 qu'au trimestre correspondant de 2013, étant donné l'incidence positive de la résolution, au cours de cette dernière période, des incertitudes liées au recouvrement de dividendes déclarés précédemment.
Au deuxième trimestre de 2014, les produits se sont établis à 1,7 milliard $, comparativement à 1,9 milliard $ au deuxième trimestre de 2013, puisque la hausse des produits des ICI a été plus que contrebalancée par une baisse des produits d'I&C.
Au deuxième trimestre terminé le 30 juin 2014, les frais de vente, généraux et administratifs (« VGA ») ont diminué de 8,9 % pour s'établir à 208,3 millions $, contre 228,7 millions $ à la période correspondante de 2013, principalement en raison des économies de coûts réalisées grâce aux plans de restructuration mis en œuvre au deuxième semestre de 2013 et aux efforts constants déployés par la Société pour contenir ces coûts dans le cadre du programme Valeur sûre.
Résultats du cumul annuel
Au semestre terminé le 30 juin 2014, la Société a déclaré un résultat net attribuable aux actionnaires de SNC-Lavalin de 126,7 millions $ (0,83 $ par action après dilution), comparativement à 15,9 millions $ (0,11 $ par action après dilution) à la période correspondante de 2013.
La Société a déclaré une perte nette provenant d'I&C de 16,1 millions $, comparativement à une perte nette de 86,1 millions $ au premier semestre de 2013. Comme il est expliqué ci-dessus, la perte nette provenant d'I&C était en partie attribuable à une réévaluation (évaluation à la valeur du marché) sans effet de trésorerie défavorable de 20,4 millions $ d'une couverture de change, ainsi qu'à un montant de 5,5 millions $ en honoraires et autres frais connexes, tous deux liés à l'entente en vue d'acquérir Kentz, annoncée au deuxième trimestre de 2014. Sans les coûts liés à cette acquisition, la Société aurait déclaré un résultat net provenant d'I&C de 9,8 millions $ au premier semestre de 2014. La variation positive résultante de 95,9 millions $ du résultat net provenant d'I&C au premier semestre de 2014, par rapport à la période correspondante de 2013, est principalement attribuable à un RAII positif provenant du secteur Infrastructures, comparativement à un RAII négatif en 2013, ainsi qu'à un RAII négatif moins élevé provenant du secteur REE, partiellement contrebalancé par un apport moins élevé du secteur Énergie.
La variation du RAII provenant du secteur Infrastructures est principalement attribuable au renversement, au premier trimestre de 2014, d'une provision sans effet de trésorerie enregistrée au deuxième trimestre de 2013 pour un projet en Libye faisant partie du sous-secteur Infrastructures et construction ainsi qu'à la constatation, au premier semestre de 2013, de coûts supplémentaires en lien avec un projet hospitalier d'envergure. La rentabilité de ce sous-secteur continue d'être plombée par des projets à prix forfaitaire du passé. Le RAII négatif moins élevé du secteur REE s'explique essentiellement par un RAII négatif moins élevé dans le sous-secteur Pétrole et gaz qui, au premier semestre de 2013, a été affecté négativement par une provision sans effet de trésorerie de 70,1 millions $ constatée par la Société en lien avec une réclamation reçue alléguant des pénalités de retard dans le cadre d'un projet à prix forfaitaire en Algérie. La rentabilité de ce secteur continue elle aussi d'être plombée par des projets à prix forfaitaire du passé. L'apport moins élevé du secteur Énergie est principalement attribuable à une baisse des produits.
Le résultat net provenant des ICI s'est chiffré à 142,7 millions $, comparativement à 102,0 millions $ au premier semestre de 2013, principalement en raison d'un résultat net plus élevé provenant d'AltaLink et de dividendes reçus plus élevés provenant de l'Autoroute 407, partiellement contrebalancés par un résultat net moins élevé provenant de SKH, comme il est expliqué ci-dessus.
Au premier semestre de 2014, les produits se sont établis à 3,4 milliards $, comparativement à 3,8 milliards $ au semestre correspondant de 2013, puisque la hausse des produits des ICI a été plus que contrebalancée par la baisse des produits d'I&C.
« À l'approche de la conclusion de chacune des transactions annoncées, nous continuons de nous concentrer sur notre carnet de commandes, notre structure organisationnelle et nos coûts. Nous avons récemment obtenu des projets de grande qualité et nous avons accompli d'énormes progrès dans la réduction de nos frais de VGA. Il nous reste cependant un certain nombre d'obstacles à surmonter dans le cadre de nos projets du passé, qui n'ont pas encore été achevés, et nous pouvons en faire plus pour réduire les coûts au sein de notre structure, a ajouté Robert G. Card. Nous poursuivons nos efforts pour créer de meilleures synergies et améliorer l'efficacité de notre organisation; grâce à la proposition d'acquisition de Kentz, nous sommes convaincus que notre rendement à long terme en I&C est en voie de s'améliorer. »
Pour la période de six mois terminée le 30 juin 2014, les frais de vente, généraux et administratifs ont diminué de 9,3 % pour s'établir à 395,1 millions $, contre 435,7 millions $ à la période correspondante de 2013. Cette baisse est principalement attribuable à des économies de coûts réalisées grâce aux plans de restructuration de la Société mis en œuvre au deuxième semestre de 2013 et aux efforts constants déployés par la Société pour contenir ces coûts dans le cadre du programme Valeur sûre.
La trésorerie et les équivalents de trésorerie ont totalisé 853,2 millions $ au 30 juin 2014, comparativement à 1,1 milliard $ à la fin de décembre 2013.
Le carnet de commandes a totalisé 8,2 milliards $ à la fin de juin 2014, soit un niveau comparable à celui de décembre 2013, puisque la hausse des produits de la catégorie Ensembles a été partiellement contrebalancée par une baisse dans les catégories O&M et Services. Le carnet de commandes de la catégorie Ensembles a augmenté pour s'établir à 413,7 millions $ depuis le 31 décembre 2013, malgré une diminution de 300,7 millions $ liée à certains projets difficiles du passé qui figurent toujours au carnet de commandes de la Société. Ces projets difficiles du passé, dont la grande majorité sont des projets hospitaliers, totalisaient 601,9 millions $ au 30 juin 2014, une baisse de 17 % par rapport aux 728,8 millions $ au 31 mars 2014.
Perspectives pour 2014
Malgré les conditions difficiles des marchés, la Société maintient sa cible de résultat par action (« RPA ») pour 2014 à un montant se situant entre 2,80 $ et 3,05 $. Cette perspective ne tient pas compte des produits éventuels de la vente de la participation de la Société dans AltaLink ni de l'incidence de la proposition d'acquisition de Kentz, annoncée le 23 juin 2014, y compris des coûts liés à cette acquisition. Elle se fonde essentiellement sur les attentes selon lesquelles certains sous-secteurs seront confrontés à des défis dont les sous-secteurs Environnement et eau, ainsi qu'Infrastructures et construction et Pétrole et gaz, principalement attribuables à certains projets difficiles du passé, ainsi que dans le sous-secteur Mines et métallurgie, qui subit encore les effets du ralentissement des marchés des produits de base. On s'attend à une hausse de l'apport du secteur ICI et du sous-secteur O&M. Cette perspective repose sur l'hypothèse que les frais de VGA continueront à diminuer, surtout en raison de nouvelles mesures et des activités en cours associées au nouveau programme d'amélioration des bénéfices Valeur sûre mis en œuvre dans l'ensemble de l'entreprise.
Les perspectives ci-dessus demeurent fondées sur les hypothèses et les méthodes décrites dans le rapport de gestion de 2013 de la Société à la rubrique « Comment nous établissons le budget et nos prévisions à l'égard des résultats »; elles devraient être lues en parallèle avec la rubrique « Énoncés prospectifs » ci-dessous et sont assujetties aux risques et incertitudes résumés aux présentes, décrits plus en détail dans les documents d'information publiés par la Société.
Dividende trimestriel
Le conseil d'administration déclare aujourd'hui un dividende en espèces de 0,24 $ par action, payable le 5 septembre 2014 aux actionnaires inscrits le 22 août 2014. Ce dividende est un « dividende déterminé » aux fins de l'impôt sur le résultat.
À propos de SNC-Lavalin
Fondée en 1911, SNC-Lavalin est l'un des plus grands groupes d'ingénierie et de construction au monde, et un acteur de premier plan en matière de propriété d'infrastructures. À partir des bureaux situés dans plus de 40 pays, les 30 000 membres du personnel de SNC-Lavalin fournissent des services d'IAC et d'IAGC aux clients dans divers secteurs, dont les suivants : mines et métallurgie, pétrole et gaz, environnement et eau, infrastructures et énergie verte. SNC-Lavalin s'occupe aussi du financement et des services d'exploitation et d'entretien pour assurer une prise en charge complète des projets. www.snclavalin.com
Énoncés prospectifs :
Dans le présent communiqué de presse et ci-après, le terme « Société » ou le terme « SNC-Lavalin » désigne, selon le contexte, le Groupe SNC-Lavalin inc. et toutes ou certaines de ses filiales ou partenariats, ou le Groupe SNC-Lavalin inc. ou l'une ou plusieurs de ses filiales ou partenariats.
Les énoncés du présent communiqué faisant état des budgets, des estimations, des attentes, des prévisions, des objectifs, des prédictions, des projections pour l'avenir ou des stratégies de la Société ou de la direction peuvent être des « énoncés prospectifs » et peuvent être signalés par l'utilisation de verbes ou de termes tels que « anticiper », « s'attendre à », « cibler », « croire », « devoir », « économie de coûts », « espérer », « estimer », « évaluer », « planifier », « pouvoir », « présumer », « prévoir », « projeter » ou « synergie », ainsi que par l'emploi du conditionnel ou du futur, que la tournure soit négative ou positive et quelle que soit la variante utilisée. Les énoncés prospectifs incluent également toutes les autres affirmations qui ne s'appuient pas sur des faits historiques. Ils comprennent également les énoncés liés aux éléments suivants : i) les dépenses en immobilisations, les produits, les dépenses, les bénéfices, les résultats économiques, l'endettement, la situation financière, les pertes et les projets potentiels à venir; et ii) les stratégies d'affaires et de gestion, l'expansion et la croissance des activités de la Société ainsi que les synergies potentielles découlant de l'Acquisition. Tous ces énoncés prospectifs sont formulés conformément aux règles refuge des lois sur les valeurs mobilières canadiennes applicables. La Société met en garde le lecteur que ces énoncés prospectifs, par leur nature même, comportent des risques et des incertitudes, et que les actions et/ou les résultats réels de la Société pourraient différer substantiellement de ceux contenus explicitement ou implicitement dans de tels énoncés prospectifs, ou pourraient avoir une incidence sur le degré avec lequel une projection particulière se réalisera. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d'assister les investisseurs et autres personnes dans la compréhension de certains éléments clés des objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels de la Société, ainsi que pour leur permettre d'avoir une meilleure compréhension des activités de la Société ainsi que de l'environnement dans lequel elle prévoit exercer ses activités. Les lecteurs sont mis en garde que de telles informations peuvent ne pas être appropriées pour d'autres usages.
Les perspectives pour 2014 dont il est fait mention dans le présent communiqué de presse constituent de l'information prospective; elles ont été établies selon la méthode décrite dans le rapport de gestion 2013 de la Société à la rubrique « Comment nous établissons le budget et nos prévisions à l'égard des résultats », et sont assujetties aux risques et aux incertitudes décrits dans les documents d'information publiés par la Société. Les perspectives pour 2014 ont pour objet de fournir au lecteur une indication des attentes de la direction, à la date du présent communiqué de presse, concernant le rendement financier futur de la Société, mais le lecteur doit savoir que ces renseignements peuvent ne pas convenir à d'autres fins.
Les énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué sont basés sur certaines hypothèses qui sont jugées raisonnables par la Société en date de ce communiqué. Les hypothèses sont posées tout au long du rapport de gestion 2013 de la Société (particulièrement, dans les sections intitulées « Jugements comptables critiques et sources principales d'incertitudes relatives aux estimations » et « Comment nous analysons et présentons nos résultats » du rapport de gestion 2013 de la Société), et ont été mises à jour dans le rapport de gestion du deuxième trimestre 2014 de la Société. De plus, les présentes perspectives pour 2014 reposent sur l'hypothèse que les montants précédemment divulgués en ce qui a trait à une réclamation en Algérie ne feront pas l'objet d'un renversement et ne tiennent pas compte des produits éventuels de la vente de la participation de la Société dans AltaLink ou de la proposition d'acquisition de Kentz, y compris les coûts liés à cette acquisition. Si ces hypothèses s'avèrent inexactes, les résultats réels de la Société pourraient différer substantiellement de ceux contenus explicitement ou implicitement dans de tels énoncés prospectifs. De plus, des facteurs de risque importants pourraient faire en sorte que les hypothèses et estimations de la Société s'avèrent inexactes, et que les actions ou les résultats réels de la Société diffèrent substantiellement de ceux contenus explicitement ou implicitement dans de tels énoncés prospectifs. Ces risques incluent, sans s'y limiter : a) l'issue des réclamations et litiges en cours et futurs pourrait avoir une incidence défavorable importante sur les activités, la situation financière et les résultats d'exploitation de la Société; b) la Société est assujettie à des enquêtes en cours qui pourraient l'exposer à des actions coercitives en matière administrative et criminelle, à des poursuites civiles, ainsi qu'à des sanctions, à des amendes et à d'autres pénalités, dont certaines pourraient être importantes, ce qui pourrait alors nuire à la réputation de la Société, donner lieu à une suspension, à une interdiction ou à une radiation visant à empêcher la Société de participer à certains projets, réduire ses produits et son résultat net et avoir une incidence défavorable sur ses activités; c) toute nouvelle réglementation pourrait avoir une incidence défavorable importante sur les résultats de la Société, et l'inconduite ou le non-respect des lois anticorruption ou autres lois ou règlements gouvernementaux par un employé, un agent ou un partenaire pourrait nuire à la réputation de la Société, réduire ses produits et son résultat net, et l'exposer à des actions coercitives en matière administrative et criminelle et à des poursuites civiles; d) si la Société est incapable de mener à bien son nouveau plan stratégique, cela pourrait avoir une incidence défavorable sur ses activités et ses résultats d'exploitation; e) une dévaluation de l'image publique de la Société pourrait influer sur sa capacité à se voir attribuer des projets dans l'avenir; f) les contrats à prix forfaitaire ou l'incapacité de la Société à respecter l'échéancier contractuel ou les exigences de rendement peuvent accroître la volatilité et l'imprévisibilité de ses produits et de sa rentabilité; g) les produits et la rentabilité de la Société dépendent en grande partie de l'obtention de nouveaux contrats, facteur sur lequel la Société n'a aucune influence directe, et l'incertitude quant au moment auquel les contrats sont octroyés pourrait avoir une incidence défavorable sur la capacité de la Société à faire correspondre la taille de son effectif à ses besoins contractuels; h) le carnet de commandes de la Société est assujetti à des ajustements et à des annulations imprévus, y compris en vertu de clauses de « résiliation pour raisons de commodité », et ne donne aucune garantie quant aux produits ou à la rentabilité futurs de la Société; i) SNC-Lavalin est un fournisseur de services auprès d'organismes publics et les contrats conclus avec les gouvernements l'exposent à certains risques; j) les activités mondiales de la Société sont exposées à divers risques et diverses incertitudes, y compris des environnements politiques défavorables, des économies étrangères faibles et le risque de change; k) les investissements de la Société dans les ICI comportent des risques pouvant avoir des répercussions défavorables; l) la Société dépend de tierces parties pour réaliser bon nombre de ses contrats; m) les coentreprises et les partenariats dans lesquels s'engage la Société l'exposent à des risques et à des incertitudes, dont bon nombre sont indépendants de sa volonté; n) la concurrence dans les marchés où la Société est présente pourrait avoir des répercussions défavorables sur ses activités; o) les activités exercées par la Société dans le cadre de l'exécution d'un projet peuvent engager sa responsabilité professionnelle ou sa responsabilité pour des services déficients; p) la Société pourrait être assujettie à des indemnités et à des pénalités pécuniaires relativement aux rapports et aux opinions techniques et professionnelles qu'elle fournit; q) la Société pourrait ne pas disposer d'une protection d'assurance suffisante pour répondre à ses besoins; r) le personnel de la Société travaille sur des projets qui peuvent être dangereux par nature et le défaut de maintenir la sécurité sur le lieu de travail pourrait entraîner des pertes importantes et/ou une incapacité à se voir attribuer des projets dans l'avenir; s) l'incapacité de la Société à attirer et à retenir du personnel compétent pourrait avoir des répercussions défavorables sur ses activités; t) les arrêts de travail, les négociations syndicales et autres questions relatives à la main-d'œuvre pourraient avoir des répercussions défavorables sur la Société; u) la Société s'appuie sur des systèmes et des données informatiques dans le cadre de ses activités; une défaillance relative à la disponibilité ou la sécurité des systèmes informatiques ou à la sécurité des données de la Société pourrait avoir des répercussions défavorables sur ses activités et ses résultats d'exploitation; v) toute acquisition ou tout autre investissement peut être assorti de risques et incertitudes; w) l'Acquisition pourrait ne pas se concrétiser ou être retardée en raison du délai nécessaire pour obtenir l'approbation des actionnaires et les approbations réglementaires requises, ainsi que pour remplir les autres conditions de clôture, ce qui pourrait nuire aux activités de la Société; x) la Société pourrait ne pas être en mesure d'intégrer les entreprises de SNC-Lavalin et de Kentz, et de concrétiser les avantages escomptés de l'Acquisition; y) une dégradation ou un affaiblissement de la situation financière de la Société, y compris de sa trésorerie nette de la dette avec recours, pourrait avoir une incidence défavorable significative sur ses activités et ses résultats d'exploitation; z) la Société pourrait avoir des besoins en fonds de roulement importants qui, s'ils ne sont pas financés, pourraient avoir des répercussions défavorables sur ses activités, sa situation financière et ses flux de trésorerie; aa) l'incapacité des clients de SNC-Lavalin de s'acquitter de leurs obligations en temps opportun pourrait avoir des répercussions défavorables sur la Société; bb) la Société pourrait être tenue de déprécier une partie de son goodwill, et elle pourrait aussi être tenue de diminuer ou de radier la valeur de certains de ses actifs ou de ses investissements, ce qui, selon l'une ou l'autre éventualité, pourrait avoir une incidence défavorable importante sur les résultats d'exploitation et la situation financière de la Société; cc) l'endettement de la Société après l'Acquisition devrait être important, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives pour la Société, notamment une diminution des fonds disponibles à d'autres fins commerciales; dd) la conjoncture économique mondiale pourrait avoir des répercussions sur les clients, les partenaires, les sous-traitants et les fournisseurs de la Société et avoir une incidence significative sur son carnet de commandes, ses produits, son résultat net et sa capacité d'obtenir et de maintenir du financement; ee) les fluctuations dans les prix des marchandises peuvent avoir une incidence sur les décisions d'investissement des clients et, par conséquent, exposer la Société à des risques d'annulation, de retard dans les travaux en cours, ou de changement dans l'échéancier et le financement des nouveaux contrats, et avoir des répercussions sur les coûts des projets de la Société; ff) les limites inhérentes au cadre de contrôle de la Société pourraient donner lieu à des anomalies significatives à l'égard de l'information financière; et gg) les lois et règlements en matière d'environnement exposent la Société à certains risques, peuvent accroître ses coûts et ses obligations et influer sur la demande pour ses services. La Société met en garde le lecteur que la liste des facteurs qui précède n'est pas exhaustive. Pour plus d'information sur les risques et incertitudes, et sur les hypothèses qui feraient en sorte que les résultats réels de la Société diffèrent des attentes actuelles, se reporter respectivement aux sections « Risques et incertitudes », « Comment nous analysons et présentons nos résultats », et « Jugements comptables critiques et sources principales d'incertitudes relatives aux estimations » du rapport de gestion 2013 de la Société, qui ont été mises à jour dans le rapport de gestion du deuxième trimestre 2014 de la Société.
Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué reflètent les attentes de la Société en date de ce dernier, et sont sujets à changement après cette date. La Société ne s'engage nullement à actualiser publiquement ou à réviser ces énoncés prospectifs, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d'événements futurs ou autres, sauf si les lois ou les règlements applicables l'exigent.
(1) Dans le présent document, le RAII est défini comme le résultat avant les charges financières nettes et l'impôt sur le résultat. Le RAII sectoriel ou sous-sectoriel, quant à lui, est défini comme le résultat net des participations ne donnant pas le contrôle avant les coûts de restructuration et les frais connexes à l'acquisition, les charges financières nettes et l'impôt sur le résultat. Le terme « RAII » n'a pas de signification normalisée prescrite par les IFRS. Il pourrait donc ne pas être comparable aux mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Le RAII, une mesure financière non définie par les IFRS, est un indicateur de la capacité de l'entité à générer un résultat à même ses activités opérationnelles avant la prise en compte de l'incidence des décisions de financement de la direction. La direction utilise cette mesure pour comparer le rendement financier de la Société d'une période à l'autre d'une manière plus significative. La direction croit que certains investisseurs utilisent cet indicateur, en plus des mesures habituelles préparées conformément aux IFRS, pour évaluer le rendement de la Société.
Il est possible de consulter les états financiers consolidés et le rapport de gestion de SNC-Lavalin, ainsi que d'autres documents financiers pertinents, dans la section « Investisseurs » du site Web de la Société au www.snclavalin.com. Ces documents et d'autres rapports de la Société sont également accessibles sur le site Web tenu par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières au www.sedar.com.
SOURCE : SNC-Lavalin
Investisseurs :
Denis Jasmin
Vice-président, Relations avec les investisseurs
514-393-8000, poste 57553
[email protected]
Médias :
Lilly Nguyen
Gestionnaire, Relations publiques,
Communications mondiales d'entreprise
514-393-8000, poste 54772
[email protected]
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