Stress et finances personnelles : près de quatre Québécois sur dix voient la gestion des finances personnelles comme une tâche difficile English
MONTRÉAL, le 11 févr. 2014 /CNW Telbec/ - Selon un récent sondage mené par CROP1 pour la Banque Laurentienne, plus du tiers des Québécois considère la gestion de leurs finances personnelles comme une tâche difficile. Cette situation peut amener chez les Québécois bien du stress en cette période de REER, surtout s'ils ne croient pas avoir les moyens nécessaires pour épargner. D'ailleurs, le remboursement des emprunts et des dettes constitue une préoccupation chez 42 % des Québécois.
L'épargne en vue de la retraite peut s'avérer une tâche difficile, surtout si notre préoccupation première est le remboursement de nos dettes. Par conséquent, subir un tel stress peut avoir des répercussions sur sa santé physique, les deux étant intimement liés.
De façon générale, les gens se donnent les outils nécessaires pour prendre soin de leur santé physique. Cependant, ceci est moins répandu pour leur santé financière, comme l'illustrent les résultats ci-dessous. Or, tout comme le médecin de famille le fait au niveau de la santé physique, le conseiller financier peut établir un bilan réaliste et global de sa santé financière et proposer des solutions concrètes.
- 72 % des répondants affirment consulter de façon régulière un médecin de famille
- 40 % des répondants bénéficient de l'expertise de professionnels de la finance
- 39 % des gens qui ne consultent pas de conseiller financier considèrent la gestion de leurs finances personnelles comme une tâche difficile
« Une rencontre avec un conseiller financier à raison d'une fois par année suffit pour établir un plan d'épargne ou de remboursement de ses dettes, selon sa situation », mentionne Guylaine Dufresne, Pl. fin, directrice principale, Investissement et planification financière. « De plus, faire un bilan de sa situation financière peut aider à réduire son stress. Le conseiller financier apporte une vision externe de la situation et peut aider l'épargnant à voir d'autres pistes de solutions qui n'auraient peut-être pas été envisagées au départ ». Les services des conseillers financiers de la Banque Laurentienne sont accessibles via son réseau de 153 succursales à travers la province et permettent de trouver des solutions qui conviennent aux besoins de chaque individu.
Voici, selon Guylaine Dufresne, trois conseils de base que tous peuvent appliquer pour libérer leur épargne et ainsi réduire le stress occasionné par la gestion de ses finances personnelles :
1. Connaître sa valeur nette
« Compiler tous ses actifs et y soustraire tous ses engagements permet de connaître sa valeur nette, c'est-à-dire son patrimoine. Il est important de faire cet exercice au moins une fois l'an afin de constater l'évolution de sa situation financière. En faisant cet exercice avec un conseiller, celui-ci pourra trouver des stratégies afin de faire augmenter sa valeur nette plus rapidement.
2. Établir un budget réaliste
« La base de la gestion de ses finances personnelles est de connaître ses revenus et son coût de vie », mentionne Guylaine Dufresne. En établissant un budget qui tient compte de chacune des dépenses, il est ainsi plus facile de déterminer sa capacité d'épargne. « Les gens n'hésitent pas à épargner pour les projets qui leur tiennent à cœur comme l'achat d'une maison ou un voyage. Il devrait en être de même pour ses projets de retraite », souligne Madame Dufresne.
3. Se donner les moyens d'épargner
L'épargne systématique reste une des meilleures façons de mettre un peu d'argent de côté pour ses vieux jours. Ainsi, en prévoyant un montant qui est débité de son compte de façon régulière, il est plus facile d'intégrer l'épargne dans ses habitudes. Aussi, pour l'épargnant n'ayant pas accumulé assez d'argent pour investir ou qui désire profiter de ses droits de cotisation inutilisés, il peut être avantageux d'envisager de contracter un prêt ou une marge de crédit REER.
« Il n'y a pas qu'une solution qui convienne pour tous. Avec la multitude de produits financiers disponibles, il peut être difficile de voir toutes les solutions qui s'offrent à nous. Le conseiller peut aider à voir plus clair et établir un diagnostic réel de sa situation et des possibilités qui sont offertes », conclut Madame Dufresne.
À propos de la Banque Laurentienne
La Banque Laurentienne du Canada est une institution bancaire dont les activités s'étendent à la grandeur du Canada. Reconnue pour l'excellence de son service, sa proximité et sa simplicité, la Banque sert un million et demi de clients à travers le pays. Fondée en 1846, elle emploie 4 000 personnes qui font d'elle un joueur solide dans plusieurs segments de marché. Elle gère un actif au bilan de 34 milliards $, de même que des actifs administrés de plus de 37 milliards $.
La Banque se démarque par l'excellence de son exécution et son agilité. Ainsi, elle dessert les particuliers, tant par l'entremise de ses services en succursale que par une offre virtuelle en évolution constante. Elle jouit également d'une solide réputation auprès des PME, des entreprises et des promoteurs immobiliers, grâce à sa présence grandissante à travers le Canada et ses solides équipes situées en Ontario, au Québec, en Alberta et en Colombie-Britannique. Sa filiale B2B Banque est quant à elle un leader canadien dans la fourniture de produits et services bancaires et d'investissements aux conseillers financiers et aux courtiers, tandis que l'expertise et l'efficacité des services de courtage de Valeurs mobilières Banque Laurentienne sont largement reconnues à la grandeur du pays.
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1 Le sondage a été réalisé par CROP à l'aide d'un panel Web de 1 000 Québécois du 4 au 9 décembre 2013.
SOURCE : Banque Laurentienne du Canada
Mary-Claude Tardif
Conseillère
Relations publiques
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