Un groupe de défense de la liberté de la presse discute de la liberté d'expression à la suite du massacre à Charlie Hebdo

OTTAWA, le 29,janv. 2015 /CNW/ - Quelles limites fixons-nous à la liberté d'expression, et de quelle façon devrions-nous tenir compte des sensibilités religieuses et culturelles 

Au lendemain du massacre perpétré au journal Charlie Hebdo, le Comité canadien pour la liberté de la presse mondiale (CCLPM) et l'École de journalisme et de communication de l'Université Carleton réunissent un groupe de spécialistes afin de réfléchir à ces questions délicates qui vont bien au-delà des représentations du prophète Mahomet.

Les panélistes sont :

Karim Karim, professeur de communication à l'Université Carleton et directeur du Centre d'études sur l'islam de l'Université.

Catherine Cano, première directrice des programmes d'informations, Radio-Canada Montréal.

Guy Badeaux, caricaturiste du Droit d'Ottawa, membre du CA du CCLPM.

Toby Mendel, cofondateur du Centre pour la loi et la démocratie (Halifax) et consultant international en matière de lois sur la liberté d'expression.

Venez nous rencontrer le mercredi 4 février à 19 h, Résidence universitaire de l'Université Carleton, salle 270. 

La Commission canadienne pour l'UNESCO et la Faculté d'affaires publiques de l'Université Carleton assurent le financement de cette activité.

Fondé en 2008, le CCLPM est un regroupement sans but lucratif qui surveille et défend la liberté de la presse et les enjeux connexes à l'échelle nationale et mondiale. Chaque année, le 3 mai, le Comité réunit des journalistes, des politiciens, des décideurs et des citoyens qui partagent ses idées lors d'une activité qui souligne la Journée mondiale de la liberté de la presse de l'UNESCO. 

L'École de journalisme et de communication de l'Université Carleton accueille plus de 1500 étudiants des premier et deuxième cycles dans ses programmes.

SOURCE Comité canadien pour la liberté de la presse mondiale

Shawn McCarthy, 613 294-4491