L'ONU a occulté des recherches prouvant que c'est la nature et non l'humanité qui contrôle le climat
OTTAWA, le 17 sept. 2013 /CNW/ - « Comme le discrédit plane sur les positions scientifiques promues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), les journalistes se trouvent devant une décision difficile », affirme Tom Harris, directeur exécutif de l'International Climate Science Coalition (ICSC), dont le siège est à Ottawa. « Devraient-ils couvrir les rapports du GIEC, dont le prochain doit paraître le 27 septembre, comme s'il n'y avait pas d'autre point de vue digne de foi? Devraient-ils plutôt aller aussi au-devant des climatologues qui ne partagent pas le point de vue de l'ONU, à savoir qu'une crise climatique d'origine anthropique est imminente? »
« Aujourd'hui, la publication de Climate Change Reconsidered II: Physical Science (CCR-II - voir http://climatechangereconsidered.org/), un rapport de 1 200 pages du Nongovernmental International Panel on Climate Change (NIPCC), facilite grandement la tâche aux médias soucieux d'adopter l'approche la plus équilibrée, soit la seconde », de poursuivre M. Harris. « Écrit et édité par Craig Idso (Ph. D.), le professeur Robert Carter et le professeur S. Fred Singer, en collaboration avec une équipe de 44 autres climatologues, ce document cite plus de 1 000 écrits scientifiques évalués par des pairs afin de démontrer que le GIEC a ignoré ou mal interprété une grande partie des recherches qui remettent en question le bien-fondé des mesures de contrôle des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Autrement dit, le rapport du NIPCC démontre que les gouvernements s'appuient sur des bases scientifiques presque certainement erronées pour instaurer des politiques qui coûtent des milliards de dollars. »
Le professeur Carter, ancien directeur de la School of Earth Sciences de l'Université James Cook, en Australie, explique : « Le rapport CCR-II du NIPCC présente dans des termes faciles à comprendre des preuves solides que les changements climatiques actuels demeurent nettement à l'intérieur des limites de la variabilité naturelle. Les observations du monde réel nous montrent que les modèles informatiques spéculatifs du GIEC ne fonctionnent pas, que la glace ne fond pas à un rythme accéléré, que la montée du niveau de la mer n'est pas plus rapide qu'avant, que la fréquence et l'intensité des événements météorologiques exceptionnels n'augmentent pas et qu'il n'y a pas de réchauffement planétaire dangereux. »
L'auteur principal du chapitre de CCR-II portant sur les phénomènes météorologiques extrêmes, Madhav Khandekar (Ph. D.), est d'accord : « Au cours de la période de refroidissement général de la Terre, de 1945 à 1977, il y a eu autant d'événements météorologiques exceptionnels qu'il y en a aujourd'hui, mais les climatologues ne les ont pas attribués à l'activité humaine. Le lien perçu entre le réchauffement planétaire et les conditions météorologiques extrêmes est surtout attribuable au fait qu'aujourd'hui, les médias accordent davantage d'attention aux phénomènes violents qu'au cours des décennies antérieures. Le climat terrestre est robuste; il n'est pas déstabilisé par le CO2 atmosphérique ajouté par les humains. »
Tom V. Segalstad (Ph. D.), professeur agrégé en géologie et géochimie des ressources et de l'environnement à l'Université d'Oslo, ajoute : « Le CO2 est "le gaz de la vie". Plus il y a de CO2, plus il y a de vie. Avec davantage de CO2, on peut nourrir davantage de personnes sur Terre. Le CO2 contribue très peu à l'"effet de serre". Les nuages ont bien plus d'influence que lui sur la température. »
Comme le souligne en outre M. Segalstad, un des auteurs de CCR-II : « L'océan a un énorme pouvoir tampon. Par conséquent, le pH de l'océan ne subira pas de variation significative du fait de l'apport relativement modeste en CO2 anthropique. »
Auteur principal d'un chapitre du rapport du NIPCC, Anthony Lupo (Ph. D.), professeur de sciences de l'atmosphère à l'Université du Missouri, décrit ce nouveau rapport comme « le plus complet jamais publié sur tous les enjeux qui entourent le climat et son évolution ». M. Lupo a œuvré à la préparation du chapitre sur les modèles climatiques; voici ce qu'il en dit : « Il présente les problèmes et les avantages des modèles informatiques en plus d'en faire ressortir les techniques, les stratégies et les lacunes actuelles. »
« Il y a bel et bien un problème climatique », admet M. Carter. « Ce sont les événements climatiques naturels qui ont des coûts humains et environnementaux très réels. Nous devons donc nous préparer et nous adapter à tous les dangers climatiques lorsqu'ils surviennent. L'engagement de milliards de dollars en mesures de contrôle du CO2 dans une vaine tentative d'empêcher la survenue de ces événements réduit la richesse des sociétés et, par le fait même, notre capacité de faire face à d'autres problèmes mondiaux qui, eux, sont bien réels. »
Le conseiller en questions énergétiques de l'ICSC, Bryan Leyland, un ingénieur-conseil établi en Nouvelle-Zélande, conclut : « Les gouvernements devraient accueillir favorablement le rapport CCR-II du NIPCC. Il leur fournit les preuves scientifiques et la justification dont ils ont besoin pour mettre un terme à l'expansion d'inefficaces sources d'énergie de remplacement et d'autres stratégies aussi coûteuses que futiles de maîtrise du climat. Ils pourront ensuite s'employer à soutenir nos sources d'énergie les plus puissantes - le charbon, le pétrole, le gaz naturel, le nucléaire, l'hydroélectricité - afin de mettre fin au fléau de la pauvreté énergétique qui afflige plus de un milliard de personnes de par le monde. »
SOURCE : International Climate Science Coalition
Pour plus de détails sur cette annonce, consultez le site http://www.climatescienceinternational.org, ou communiquez avec l'une des personnes suivantes :
Canada et États-Unis
Tom Harris, B. Eng., M. Eng.
Directeur exécutif, International Climate Science Coalition
Ottawa (Ontario)
Téléphone : 613-728-9200
Courriel : [email protected]
ou
Madhav Khandekar, Ph. D.
Ancien chercheur scientifique à Environnement Canada
Unionville (Ontario)
Téléphone : 1-905-940-0105
Courriel : [email protected]
ou
Anthony Lupo, Ph. D.
Département des sciences du sol, de l'environnement et de l'atmosphère
Université du Missouri (États-Unis)
Téléphone : 573-884-1638
Cellulaire : 573-489-8457
Courriel : [email protected]
Australie
Robert Carter, Ph. D.
Conseiller scientifique principal, International Climate Science Coalition
Ancien directeur de l'École des sciences de la Terre, Université James Cook
Queensland (Australie)
Téléphone (mobile) : +61-(0)419-701-139
Téléphone (soir) : +61-(0)7-4775-1268
Courriel : [email protected]
Nouvelle-Zélande
Vincent Gray, Ph. D.
Réviseur d'un chapitre de CCR-II et réviseur expert pour le GIEC
Wellington (Nouvelle-Zélande)
Téléphone : 064 4 9735939
Courriel : [email protected]
ou
Bryan Leyland, M. Sc., ingénieur-conseil
Conseiller en questions énergétiques, International Climate Science Coalition
Auckland (Nouvelle-Zélande)
Téléphone : +64 9 940 7047; mobile : +64 21 978 996
Courriel : [email protected]
Europe de l'Ouest
Jan-Erik Solheim
Ancien professeur à l'Institut de physique et de technologie
Réviseur d'un chapitre de CCR-II
Université de Tromso (Norvège)
Téléphone : +47 90121983
Courriel : [email protected]
Europe de l'Est et Asie (entrevues en russe seulement)
Habibullo I. Abdussamatov, D. Sc., astrophysicien
Réviseur d'un chapitre de CCR-II
Directeur du projet Selenometria à bord du segment russe de la SSI
Directeur du secteur de la recherche spatiale, Observatoire Pulkovo de l'Académie des sciences de Russie
Saint-Pétersbourg (Russie)
Téléphone : +7 (921) 797 07 66
Courriel : [email protected]
Partager cet article