TORONTO, le 19 mars 2016 /CNW/ - Aujourd'hui, plus de 200 étudiants racialisés et autochtones de partout au pays se rassemblent à Scarborough, en Ontario, à l'occasion du tout premier Sommet national sur l'expérience des étudiantes et étudiants racialisés et autochtones (RISE), organisé par la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants.
« Il s'agira d'un rassemblement historique d'étudiants issus des communautés marginalisées », affirme Bilan Arte, présidente nationale de la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants. « Les étudiants racialisés et autochtones sont prêts à se battre de toutes leurs forces contre le racisme et le colonialisme qui règne sur les campus et dans les collectivités. »
Du samedi 19 mars au lundi 21 mars, les participants au sommet pourront participer à des dizaines d'ateliers, de séances de discussion et d'espaces ouverts pour s'organiser, afin de partager leurs victoires respectives, d'aborder les défis qu'ils doivent relever et de réfléchir aux stratégies à mettre en place pour mener des campagnes de sensibilisation et instaurer des politiques dans leurs campus. Les célèbres activistes communautaires Harsha Wallia, Clayton-Thomas Muller, Tasha Spillett et Lynn Jones, ainsi que l'Aînée algonquine Annie Smith St-Georges seront présents au Sommet RISE.
Le dernier jour coïncidera avec la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale des Nations Unies, le 21 mars 2016.
La Fédération canadienne des étudiantes et étudiants est la plus vieille et la plus grande organisation étudiante nationale au Canada. Elle représente plus de 650 000 étudiants de niveau collégial et de niveau universitaire de premier cycle et de cycles supérieurs de partout au pays.
SOURCE Fédération canadienne des étudiant(e)s
Sarah McCue, coordonnatrice, Communications, 613-797-6626, [email protected]
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