Un syndicat est entraîné dans un faux procès pour savoir qui a donné les
directives aux agents infiltrés de la police à Montebello
Nouvelles fournies par
Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier03 déc, 2009, 12:00 ET
"On nous entraîne dans un faux procès pour aller au fond de ce qui s'est vraiment passé à Montebello, affirme
"Il est essentiel, ajoute-t-il, devant l'imminence de la rencontre du G20 au printemps, que les Canadiennes et Canadiens puissent exercer leurs droits d'expression avec confiance sans craindre l'intimidation et la violence de la police."
"En même temps, les chefs d'État doivent savoir qu'ils peuvent venir au
Le SCEP a immédiatement réclamé une enquête judiciaire indépendante pour savoir qui avait donné les directives d'incitation à la violence aux agents de la police lors d'une manifestation pacifique, mais on lui a dit qu'il devait déposer une plainte au Comité de déontologie policière en vertu de la Loi sur la police.
Le comité a maintenant accepté de tenir une audience publique, mais il cherche à transférer l'instruction de la plainte à un fonctionnaire qui a déjà conclu que la police impliquée dans l'affaire devait être excusée de toute faute.
"Ainsi, le type responsable de la poursuite est le même qui a déjà blanchi toute l'affaire, affirme
Aujourd'hui, le SCEP a établi un précédent en déposant une requête pour obtenir la qualité de partie à l'audience devant le Comité de déontologie policière avec le droit de présenter une contre-preuve et mener un contre-interrogatoire.
"Le SCEP est déterminé à connaître la vérité sur ce qui s'est réellement passé au sommet de Montebello en 2007, a déclaré
Renseignements: Dave Coles, (613) 299-5628
Partager cet article