Un tiers des Canadiens éprouvent des difficultés à épargner pour les études postsecondaires de leur enfant en raison de la COVID-19 English
De nouvelles données de La Première financière du savoir indiquent que presque tous les parents canadiens (95 %) pensent qu'épargner pour les études postsecondaires d'un enfant est important, même si près de la moitié d'entre eux affirment que la COVID-19 a eu un effet négatif sur leur capacité d'épargner.
TORONTO, le 19 nov. 2020 /CNW/ - La Première financière du savoir, la plus importante société de REEE au Canada, propriété d'un organisme sans but lucratif, a mené une nouvelle étude relative aux effets de la COVID-19 sur l'éducation dans l'ensemble du pays. Une écrasante majorité de parents canadiens indiquent qu'épargner en vue des études postsecondaires de leur enfant est important, pourtant plus de 4 sur 10 rapportent que la COVID-19 a eu un effet négatif sur leur capacité d'épargner en vue des études postsecondaires de leur enfant.
En cette Semaine de l'épargne-études (du 15 au 21 novembre), La Première financière du savoir tient à assurer les Canadiens qu'elle comprend l'incidence de la COVID-19 sur leur capacité d'épargner pour les études postsecondaires de leur enfant, et souhaite utiliser cette semaine pour montrer aux parents qu'investir dans l'avenir présente d'innombrables avantages.
« La COVID-19 a de sérieux effets sur l'apprentissage de l'étudiant et la capacité d'épargne des parents canadiens » déclare Carrie Russel, présidente et chef de la direction de La Première financière du savoir. « Même si nous savons que les parents doivent relever de nombreux défis en ce moment, il existe une façon simple de les aider à préparer les études postsecondaires de leur enfant. Investir tôt, même un petit montant, peut faire une grande différence à long terme. »
Épargner pour les études postsecondaires d'un enfant est devenu difficile pour les parents, partout au Canada, en raison de la pandémie. La COVID-19 a, par ailleurs, affecté la qualité de l'éducation pour les étudiants qui ont manqué des jalons importants de leur parcours et dont la motivation pour le travail scolaire a diminué. D'après les données tirées de l'étude de La Première financière du savoir auprès des parents canadiens ayant des enfants d'âge scolaire :
- un tiers des Canadiens déclarent que la COVID-19 a déjà eu un effet négatif sur leur capacité de financer les études postsecondaires de leur enfant.
- 1 parent canadien sur 4 envisage un changement de plan pour les études postsecondaires de ses enfants en raison de la pandémie.
- les parents canadiens s'accordent pour dire (à 75 %) que la COVID-19 a eu une incidence sur la qualité des études de leurs enfants.
- Plus de la moitié (61 %) des parents disent que les niveaux de stress de leurs enfants ont augmenté depuis l'arrivée de la COVID-19, et 76 % rapportent que leurs enfants socialisent moins.
- 79 % s'inquiètent des effets prolongés de la COVID-19 sur le développement pédagogique de leur enfant, 42 % indiquent que leurs enfants décrochent sur des compétences de base en lecture, écriture et mathématique, et 36 % reportent un effet négatif sur les notes
- 45 % déclarent que leurs enfants sont moins motivés pour leur travail scolaire qu'avant la COVID-19, ceci demeurant le principal défi pour plus d'un tiers des parents lorsqu'il s'agit de l'éducation de leur enfant.
- 45 % des parents ont des enfants déçus d'avoir manqué des jalons importants de leur parcours éducatif à cause de la COVID-19.
« Au cours des 55 dernières années, nous nous sommes consacrés à informer et aider les familles partout au Canada à épargner pour l'avenir de leurs enfants et nous savons bien que la pandémie a rendu cela difficile pour certains parents », nous dit madame Russel. « La moitié des Canadiens s'inquiètent au sujet de leur capacité d'épargner en vue des études postsecondaires de leur enfant si la COVID-19 perdure. Nous voulons atténuer les inquiétudes parentales et l'anxiété des étudiants en leur montrant à quel point les REEE sont flexibles, polyvalents et profitables. »
Les Canadiens ayant un REEE peuvent optimiser leur épargne grâce aux subventions gouvernementales, puisque les REEE sont les seuls instruments d'épargne donnant droit à des incitatifs comme la Subvention canadienne pour l'épargne-études (SCEE) valant jusqu'à 7 200 $ par enfant. Les parents peuvent différer jusqu'à 50 000 $ d'impôt par enfant sur un REEE, et pour ceux qui décident de ne pas poursuivre d'études postsecondaires, les fonds peuvent être utilisés pour un REER selon les plafonds de cotisation autorisés. La Première financière du savoir recommande de commencer tôt, car cela signifie une épargne plus importante au bout du compte, et permet aux souscripteurs de profiter plus tôt des subventions gouvernementales et de la croissance composée. Nous encourageons néanmoins ceux dont les enfants sont plus âgés à ouvrir un REEE, car ils en récolteront quand même des bénéfices.
Pour mettre en valeur la Semaine de l'épargne-études, La Première financière du savoir s'est associée à Kathy Buckworth, spécialiste de la famille et des finances, et a préparé une liste d'astuces pour réaliser des « victoires parentales » et faire de l'épargne une expérience agréable pour les parents et les enfants :
- Créer un tableau des tâches ou une roue des tâches pour l'argent de poche. Faire en sorte que ce soit la seule façon pour les enfants de gagner de l'argent afin qu'ils comprennent que l'effort est synonyme de récompense. Chaque tâche peut donner lieu à un montant différent. Faites tourner la roue aux enfants pour déterminer quelle tâche ils devront faire et quel somme ils gagneront pour la semaine ! Vous pouvez aussi inclure un objectif (un jeu vidéo par ex.) et le nombre de fois que la tâche doit être effectuée pour l'atteindre. Par exemple, pelleter l'allée trois fois, passer l'aspirateur dans le salon, faire une brassée de linge donne droit à la récompense !
- Utilisez un pot transparent au lieu d'une tirelire pour qu'ils voient leurs économies s'accumuler. Encouragez vos enfants à mettre leur argent de côté au lieu de le dépenser, et pour chaque mois d'épargne, ajoutez un deux dollars pour leur apprendre ce qu'est l'intérêt !
- Jouez à des jeux de société comprenant un élément financier. Le Monopoly est une bonne idée pour leur enseigner le risque, l'investissement, les rendements et les loyers. Le « Jeu de la vie » et « Jour de paye » sont des jeux excellents pour apprendre à calculer les revenus et les dépenses.
Les REEE ne sont pas réservés qu'aux parents : les grands-parents, les aidants naturels ou les tuteurs légaux peuvent aussi ouvrir un REEE afin d'épargner pour l'avenir d'un étudiant. La Semaine de l'épargne-études est le moment par excellence pour commencer ou poursuivre un objectif d'épargne. Même si investir peut sembler différent aujourd'hui qu'il y a un an, comme dit le proverbe québécois : « c'est avec des cennes qu'on fait des piastres », et les épargnants profitent des subventions gouvernementales et des avantages fiscaux. Les Canadiens ouvrant un REEE de 1 000 $ avec La Première financière du savoir obtiendront une boîte d'activité gratuite de Curiosity Box Kids qui divertira les enfants aujourd'hui pendant que leurs parents planifient les victoires de demain. Pour ouvrir un REEE avec La Première financière du savoir, visitez le site : premierefinancieredusavoir.ca.
Conclusions du sondage en ligne organisé par Phase5® pour La Première financière du savoir du 9 au 13 novembre 2020 auprès d'un échantillon représentatif de 1 000 Canadiens.
À propos de La Première financière du savoir
Depuis plus de 50 ans, les familles canadiennes comptent sur les régimes d'épargne-études de La Première financière du savoir. Depuis 1965, les paiements issus de nos régimes s'élèvent à 8,2 milliards de dollars, et la société gère aujourd'hui 6,8 milliards de dollars d'actifs (selon les états financiers non audités au 31 août 2020) pour plus de 680 000 bénéficiaires. La Première financière du savoir inc. est une filiale en propriété exclusive de La Première fondation du savoir, et le gestionnaire des fonds de placement, l'administrateur, et le distributeur des régimes enregistrés d'épargne-études.
La Première fondation du savoir est une société canadienne sans but lucratif. La fondation réinvestit ses revenus excédentaires dans des initiatives de soutien à la réussite des étudiants. Au cours des 15 dernières années, La Première fondation du savoir a versé plus de 54 millions de dollars en supplément des paiements d'aide aux études à des étudiants et accordé 1,6 million de dollars en bourses d'études supérieures.
Pour en savoir plus sur La Première financière du savoir et ouvrir un REEE, visitez le site www.premierefinancieredusavoir.ca
SOURCE La Première financière du savoir
Summer Martin, Agnostic, [email protected], +1 226 224-0977
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