Une conversation importante que les travailleurs canadiens n'ont pas : Les conséquences financières d'une invalidité English
Un travailleur sur trois devra s'absenter du travail pendant au moins trois mois
Twitter : 1 travailleur canadien sur 3 devient invalide, mais 67 % des gens n'ont pas discuté de l'impact financier de ne pas travailler selon @RBCInsurance.
Sommaire : Subir une invalidité au travail est une possibilité bien réelle pour bon nombre de Canadiens. Dans 43 % des ménages, un travailleur a dû prendre congé en raison d'une invalidité ; en outre, un travailleur sur trois aura une période d'invalidité de plus de 90 jours au cours de sa vie active. Malgré cela, 67 % des travailleurs canadiens n'ont pas discuté des conséquences financières de ne pas travailler. Il est essentiel d'avoir ces discussions, de connaître sa couverture et d'être préparé.
TORONTO, le 29 sept. 2015 /CNW/ - Les Canadiens sont de plus en plus doués dans l'art de la planification de leur avenir sur le plan financier, mais les travailleurs sont encore nombreux à ne pas prendre le temps nécessaire pour discuter des conséquences financières d'une invalidité. Selon un récent sondage de RBC Assurances, 95 % des travailleurs canadiens étaient d'accord qu'une invalidité pouvait survenir à tout moment, mais 67 % d'entre eux n'avaient pas discuté avec leur famille des conséquences financières d'être incapable de travailler en raison d'une invalidité.
Ce sont des conversations importantes, étant donné que dans 43 % des ménages, un travailleur a dû s'absenter en raison d'une invalidité, et que 72 % des Canadiens subiraient de graves conséquences financières s'ils arrêtaient de travailler pendant trois mois.
« Les travailleurs ne peuvent ignorer le risque réel d'une absence du travail en raison d'une invalidité au cours de leur carrière, explique Mark Hardy, premier directeur, Assurance vie et prestations du vivant, RBC Assurances. Un travailleur sur trois au Canada aura une période d'invalidité de plus de 90 jours pendant sa vie active. Les travailleurs doivent en discuter en famille et prendre des mesures dès aujourd'hui afin de se préparer aux répercussions financières de ne pas pouvoir travailler. »
« Il faut qu'on se parle »
Ne pas savoir comment commencer la conversation (20 %) et être gêné de parler d'invalidité (19 %), voilà les raisons principales pour lesquelles les Canadiens ne discutent pas des conséquences financières d'un arrêt de travail. Qu'est-ce qui les inciterait à en parler ? Trente-quatre pour cent des personnes sondées seraient plus portées à en parler si leur propre situation financière se détériorait et 23 % d'entre elles en discuteraient si elles connaissaient quelqu'un personnellement qui s'était absenté du travail en raison d'une invalidité.
« L'on croit à tort qu'une invalidité « ne m'arrivera jamais », mais une invalidité est une possibilité bien réelle au cours d'une carrière. Une invalidité peut se produire soudainement, et au-delà des graves conséquences financières, il faut également envisager la charge émotionnelle, raison de plus d'avoir cette conversation », a ajouté M. Hardy.
Les travailleurs canadiens doivent vérifier leur couverture
Il est important pour tous les travailleurs canadiens de comprendre leur couverture. Bon nombre de personnes croient qu'elles sont suffisamment couvertes par le régime d'assurance offert par leur employeur, et ne se rendent peut-être pas compte que les assurances fournissent une couverture limitée. Étant donné que 43 % des familles soutiennent que leurs avantages sociaux au travail ne comprennent pas d'assurance invalidité, il est important que les travailleurs vérifient leur couverture et fassent immédiatement le nécessaire pour être protégés.
Conseils pour discuter des finances et d'un arrêt de travail en cas d'invalidité
- Examinez la couverture offerte par le régime de votre employeur. Comprenez la définition d'une invalidité par le régime, et ce qui est couvert et ce qui ne l'est pas. Si vous avez besoin de garanties supplémentaires, discutez avec un professionnel de l'assurance.
- Comprenez vos finances personnelles et le revenu qu'il vous faut pour couvrir vos dépenses mensuelles.
- Prévoyez un budget d'urgence pour vous aider à couvrir au moins trois mois de frais de subsistance.
- Si vous avez besoin de soutien, parlez à vos proches et renseignez-vous au sujet des programmes d'aide aux employés au travail.
- Le moment idéal pour aborder ces questions, c'est lorsque vous examinez vos objectifs financiers annuels et que vous en discutez.
À propos du sondage de RBC Assurances
RBC Assurances a mandaté Ipsos pour mener un sondage sur l'opinion des travailleurs canadiens sur des sujets comme l'invalidité, la préparation financière en cas d'invalidité et les attitudes à l'égard de l'invalidité. Le sondage a été réalisé du 12 au 19 juin 2015. Au total, un échantillon de 1 500 travailleurs canadiens ont été sondés en ligne au moyen du panel Je-dis d'Ipsos. La précision des sondages en ligne d'Ipsos est calculée au moyen d'un intervalle de crédibilité. Pour ce sondage, les résultats sont précis à ± 2,95 points de pourcentage, 19 fois sur 20, par rapport aux résultats que l'on aurait obtenus si tous les travailleurs canadiens avaient été sondés.
À propos de RBC Assurances
RBC Assurances®, par l'intermédiaire de ses filiales d'exploitation, offre un vaste éventail de produits et de solutions d'assurance voyage, vie, maladie, habitation, automobile, gestion de patrimoine et réassurance, ainsi que des services d'assurance crédit et entreprise à une clientèle composée de particuliers, d'entreprises et de groupes. RBC Assurances compte plus de quatre millions de clients dans le monde. Nous sommes l'un des groupes les plus importants de compagnies d'assurance détenues par une banque canadienne et nous nous classons parmi celles qui enregistrent la plus forte croissance au pays. RBC Assurances, qui compte plus de 3 000 employés, est la marque descriptive des filiales d'exploitation en assurance de la Banque Royale du Canada.
SOURCE RBC Assurances
Greg Skinner, Communications, RBC, 416 294 5579
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