Congrès FPJQ : Un contre-pouvoir à assumer
MONTRÉAL, le 17 nov. /CNW Telbec/ - Le congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, les 26, 27 et 28 novembre à Montréal, met au programme des discussions essentielles sur le thème « Un contre-pouvoir à assumer»:
- | Faut-il créer un titre de «journaliste professionnel» comme le veulent massivement les répondants aux sondages de la FPJQ cet automne? Martine Simonis viendra de Belgique nous faire part de l'expérience des collègues de son pays et des avantages qu'ils tirent d'un titre reconnu. |
- | Est-ce en jouant toujours mieux leur rôle de chien de garde de la démocratie que les journalistes vont prouver leur pertinence et rendre l'information de qualité financièrement soutenable? Deux experts internationaux apportent leurs réponses. |
- | Que faut-il penser du plan de développement de Quebecor Media et de la place que l'éléphant occupe dans la pièce? |
- | Qu'est-ce qui doit changer en journalisme? Retour sur les cinq sondages automnaux de la FPJQ auprès des journalistes dont le malaise professionnel est manifeste. Que faut-il en tirer? |
- | Les sites hyperlocaux sont-ils la nouvelle recette pour améliorer l'information locale et régionale? Une spécialiste américaine nous fait part des forces et faiblesses des nombreuses expériences de ce type qui sont en cours aux Etats-Unis. |
- | Qui a encore le droit de parler aux journalistes dans les organismes privés et publics sans devoir réclamer l'anonymat? Le contrôle total du message par les décideurs est-il le nouveau mur à abattre? |
- | La solidarité professionnelle des journalistes a-t-elle permis au cours de l'année de contrer les efforts des élus qui cherchent à les diviser pour régner… et pour mieux cacher des informations? |
- | Le Conseil de presse, secoué par les crises, est-il mûr pour une remise à zéro et un départ sur de nouvelles bases? |
- | Les journalistes des médias ethniques sont bien branchés sur leurs communautés. Mais sont-ils trop souvent ignorés, nous privant de connaissances sur la réalité qui nous entoure? |
- | Le journaliste qui fréquente les réseaux sociaux, même à titre privé, peut-il laisser la carte de presse au vestiaire et s'en donner à cœur joie comme n'importe qui? |
- | Comment le journaliste, qui n'est pas un expert, peut-il éclairer le public sur les questions scientifiques complexes qui font l'actualité, sans semer la panique? |
- | Quels principes devraient régir les contrats des journalistes pigistes pour en faire des contrats équitables? Une discussion de dix principes. |
Le congrès comporte également plusieurs ateliers de perfectionnement, l'exposition des photos de presse finalistes du prix Antoine-Desilets, une table de littérature, deux cocktails de réseautage, un speed dating pour pigistes et étudiants en journalisme, une assemblée générale et un gala de remise de prix de journalisme.
Profitez dès maintenant des tarifs plus bas de l'inscription hâtive qui sont en vigueur jusqu'à vendredi prochain 19 novembre. Le congrès est ouvert au public.
Tous les détails à www.fpjq.org
Renseignements:
Source : Claude Robillard, FPJQ, 514 522-6142
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