KIRKLAND, QC, le 26 mars 2012 /CNW Telbec/ - Merck a annoncé aujourd'hui le lancement du Fonds de biosciences Merck Lumira (le « Fonds »), dans lequel elle investira 35 millions de dollars. Le Fonds, établi par Merck par l'entremise d'une filiale, en collaboration avec Lumira Capital, Teralys Capital et d'autres partenaires, offrira des capitaux d'investissement pour soutenir les sociétés québécoises biotechnologiques en amont de la preuve de concept chez l'humain.
Le lancement a eu lieu plus tôt aujourd'hui à l'Hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth, à Montréal. Parmi les personnalités présentes, Sam Hamad, ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation; Yolande James, ministre de la Famille et députée de Nelligan; Cyril Schiever, président et directeur général de Merck au Canada et des membres de la direction de Merck, de Lumira Capital et de Teralys Capital.
« Le Fonds de biosciences Merck Lumira représente une approche de recherche collaborative entre le gouvernement, le milieu scientifique et l'industrie qui se fonde sur la solide culture de l'innovation au Québec. Par l'entremise de ce Fonds, nous nous engageons à soutenir les chercheurs établis au Québec pour les aider à stimuler la productivité de la recherche et développement, tout particulièrement au stade préliminaire de l'innovation », affirme M. Schiever.
Le Fonds de biosciences Merck Lumira investira principalement dans les sociétés de biotechnologie québécoises qui font de la recherche aux stades préliminaires du développement de médicaments au Québec. Il est conçu afin d'offrir du capital pour stimuler l'innovation et attirer dans la province de nouveaux entrepreneurs du secteur des sciences de la vie. Le Fonds représente une collaboration novatrice entre une société pharmaceutique, une société spécialisée dans le capital-risque, un fonds de fonds canadien axé sur la technologie, parmi d'autres commanditaires. À la clôture initiale, Merck a investi 35 millions de dollars et le Fonds a levé un total de 43 millions de dollars. Le Fonds vise à amasser une somme totale de 50 millions de dollars d'ici la clôture finale. Lumira Capital, qui a également pris un engagement d'investissement, agira à titre de gestionnaire du fonds. À moins d'une entente négociée séparément avec les sociétés faisant partie du portefeuille du Fonds, Merck n'aura aucun droit sur celles-ci ou sur leurs produits en vertu de son rôle de commanditaire.
« Mettre sur pied des sociétés transformationnelles spécialisées en soins de santé et en sciences de la vie à travers l'Amérique du Nord, notamment au Québec, fait partie intégrante de la stratégie de Lumira depuis plusieurs années », affirme Daniel Hétu, associé chez Lumira Capital. « Nous espérons bénéficier des conseils et de l'expertise de Merck, alors que nous travaillerons à mettre sur pied des sociétés québécoises novatrices qui sauront générer un rendement important pour les investisseurs. En tant que gestionnaire du Fonds, nous le ferons bénéficier de notre expérience, de notre réseau et de notre capacité d'être un partenaire collaboratif à valeur ajoutée. »
« Teralys est fière d'investir, aux côtés de Merck, un montant important dans l'écosystème québécois des sciences de la vie qui permettra de renforcer la position de chef de file de la province dans ce secteur », déclare Jacques Bernier, associé directeur de Teralys Capital. Il ajoute : « En plus d'avoir Merck comme partenaire fort et crédible, Lumira Capital bénéficie d'une masse critique de capitaux, d'une vision et des réseaux internationaux nécessaires pour assurer son succès dans le domaine des sciences de la vie. »
Le lancement du Fonds représente la plus récente contribution de Merck dans le cadre de son engagement annoncé en 2010 d'investir 100 millions de dollars au cours des cinq prochaines années dans la recherche et développement biopharmaceutique au Québec. Auparavant, Merck a investi 6,8 millions de dollars dans AmorChem, un fonds de capital-risque québécois spécialisé dans les sciences de la vie, et 5 millions de dollars dans le Consortium québécois sur la découverte du médicament (CQDM).
Lumira Capital II LP
En plus d'investir dans le Fonds de biosciences Merck Lumira, Merck contribuera aussi un montant de 5 millions de dollars à la clôture initiale du Fonds Lumira Capital II, qui totalisera 101 millions de dollars. Cet investissement s'inscrit dans la stratégie mondiale de Merck visant à collaborer avec des partenaires de premier plan de capital-risque. Le Fonds Lumira Capital II, qui se concentra sur des stades de développement plus avancés et une région géographique plus vaste, améliorera la continuité du capital pour les sociétés canadiennes et américaines. Ce fonds compte plusieurs commanditaires, dont Teralys Capital et le Fonds de solidarité FTQ, ainsi que l'Ontario Venture Capital Fund et la Banque de développement du Canada (BDC).
Au cours de la dernière année, Merck a travaillé à renforcer les liens qui l'unissent à la communauté de capital-risque en établissant à travers le monde des partenariats d'investissement stratégiques ciblés régionalement, collectivement appelés le Merck Research Ventures Fund (MRVF). Les engagements envers les fonds gérés par Lumira s'insèrent dans cette stratégie.
À propos de Merck
La nouvelle société Merck vise à aider le monde à vivre mieux. Merck est un chef de file mondial du domaine de la santé qui offre une gamme diversifiée de médicaments d'ordonnance, de vaccins, de produits de santé animale et de produits grand public. Au Canada, Merck commercialise plus de 530 produits pharmaceutiques, grand public et de santé animale, et la société est un chef de file dans des domaines aussi nombreux que variés, comme la cardiologie, les maladies infectieuses, les maladies respiratoires, les vaccins, la santé des femmes et la protection solaire. Elle se consacre également à étendre sa gamme de produits à des domaines tels que la virologie, l'oncologie et le diabète. Pour de plus amples renseignements à propos de nos activités au Canada, consultez le site Web www.merck.ca.
Déclarations prospectives
Ce communiqué contient des « déclarations prospectives » (forward looking statements), au sens des dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act de 1995 des États- Unis. Ces déclarations peuvent comprendre, entre autres, des déclarations sur les avantages de la fusion entre Merck et Schering-Plough, dont notamment les résultats financiers et d'exploitation futurs et les projets, objectifs, attentes et intentions de l'entreprise combinée, ainsi que d'autres considérations ne constituant pas des faits historiques. Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions actuelles de la direction de Merck et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes. Les résultats réels peuvent différer de ceux que décrivent les déclarations prospectives.
Les facteurs suivants, entre autres, pourraient entraîner un écart entre les résultats réels et les déclarations prospectives : la possibilité de voir toutes les synergies attendues de la fusion entre Merck et Schering-Plough ne pas se concrétiser du tout ou au cours de la période espérée; les effets de la réglementation de l'industrie pharmaceutique ou des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et dans le monde; la capacité de Merck à prédire précisément les conditions de marché futures; la dépendance à l'égard de l'efficacité des brevets de Merck et des autres protections relatives aux produits innovants, ainsi que le risque de faire l'objet d'actions judiciaires ou de mesures réglementaires.
Merck ne s'engage aucunement à publier des mises à jour de ses déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations, d'événements futurs ou de quelque fait que ce soit. D'autres facteurs susceptibles d'entraîner une différence notable entre les résultats réels et les résultats décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport annuel 2011 de Merck établi sur le formulaire 10-K et sur les autres documents déposés par la société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et accessibles sur le site Internet de cette dernière (www.sec.gov).
Bas de vignette : "Daniel Hétu, associé, Lumira Capital; Jacques Bernier, associé principal, Teralys Capital; Sam Hamad, ministre, MDEIE; Yolande James, ministre de la Famille et députée de Nelligan; Bruno Strigini, président, Europe/Canada, Merck ; Cyril Schiever, PDG, Merck Canada inc.; Dr Pomerantz, vice-président principal, Gestion mondiale de la licenciation et du savoir, Merck. (Groupe CNW/MERCK)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20120326_C7695_PHOTO_FR_11563.jpg
Bas de vignette : "Daniel Hétu, associé, Lumira Capital; Jacques Bernier, associé principal, Teralys Capital; Sam Hamad, ministre, MDEIE; Yolande James, ministre de la Famille et députée de Nelligan; Bruno Strigini, président, Europe/Canada, Merck ; Cyril Schiever, PDG, Merck Canada inc.; Dr Pomerantz, vice-président principal, Gestion mondiale de la licenciation et du savoir, Merck. (Groupe CNW/MERCK)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20120326_C7695_PHOTO_FR_11565.jpg
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Ani Armenian
Merck
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Le Cabinet de relations publiques NATIONAL
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