Les confessions de dettes : La plupart des couples canadiens ne sont pas en amour avec les habitudes financières de leur conjoint English
Mauvaise Saint-Valentin ? BDO Canada constate que la majeure partie des préoccupations des couples sont liées à des dépenses excessives, ne pas faire de budget, ne pas épargner suffisamment et ne pas gérer ses dépenses.
TORONTO, le 6 févr. 2018 /CNW/ - Les Canadiens qui s'inquiètent de la dette ou des habitudes de dépenses de leur conjoint voudront peut-être prolonger leur soirée de Saint-Valentin pour aborder le sujet des finances dans leur couple. Un nouveau sondage Ipsos commandé par BDO Canada révèle que 59 % des couples canadiens (vivant séparément, en union libre ou mariés) souhaitent pouvoir changer au moins l'une des habitudes financières de leur conjoint. Mais leur être cher pourrait ne pas en être conscient, puisque 36 % de ces couples discutent rarement ou jamais de leurs finances personnelles.
« Il est important d'être sur la même longueur d'onde que votre conjoint en ce qui concerne les finances », a déclaré André Bolduc, Vice-président principal de BDO Canada Limitée. « Cacher des habitudes de dépenses ou des dettes à votre conjoint peut causer de graves difficultés financières qui pourraient mener à des mesures plus formelles d'allégement de la dette. »
BDO Canada, l'une des plus grandes entreprises d'allégement de la dette au pays, a constaté que ceux qui ont beaucoup de dettes sont les plus susceptibles de dissimuler des secrets financiers à leur conjoint. Un peu plus de la moitié (53 %) d'entre eux disent que leur conjoint connaît tout de leurs finances, tandis que les autres ont caché ou cachent quelque chose. La dette de carte de crédit demeure l'élément le moins divulgué, suivi par d'autres habitudes de dépenses et de la dette précédant leur relation.
Les femmes sont les plus inquiètes concernant les habitudes d'épargnes de leur conjoint
Pour ceux qui ont dit vouloir changer au moins l'une des habitudes financières de leur conjoint, 42 % des femmes souhaitent que leur conjoint épargne davantage pour des objectifs à long terme comme la retraite et les urgences, contrairement à 29 % des hommes. Les femmes (73 %) étaient plus susceptibles que les hommes (66 %) de dire que leur conjoint savait tout de leurs finances. Et tandis que les hommes sont plus susceptibles d'admirer les compétences budgétaires de leur être cher, plus de femmes (23 %) que d'hommes (16 %) disent ne pas admirer les habitudes financières de leur conjoint.
La bonne nouvelle, c'est que la plupart des Canadiens ont parlé de leur dette avec leur conjoint à un moment donné dans leur relation. 62 % en avaient parlé avant de se marier et 31 % en ont discuté au cours des six premiers mois de fréquentation. Les milléniaux étaient les plus susceptibles de discuter de leur dette plus tôt dans la relation - 50 % en ont parlé au cours des six premiers mois de fréquentation.
Objectifs de couple : rembourser la dette de carte de crédit
Bien que les statistiques démontrent qu'il ne s'agit pas d'une avenue facile pour certains couples, en ce qui concerne les finances personnelles, quatre Canadiens sur cinq admirent au moins l'une des habitudes financières de leur conjoint. L'habitude la plus admirée serait d'avoir peu ou pas de dette de carte de crédit (38 %), suivie de bonnes habitudes d'épargne à long terme, de respecter un budget et de ne pas avoir de dettes d'études. Les baby-boomers sont plus susceptibles d'apprécier un conjoint n'ayant presque pas de dette de carte de crédit, puisque près de la moitié (44 %) ont dit qu'ils admiraient ce trait dans leur conjoint.
Quand il s'agit de gérer une dette à deux, M. Bolduc suggère de créer des objectifs financiers communs. « Jetez un œil à toutes vos dettes existantes et déterminez le montant dû ainsi que les taux d'intérêt sur chacune de vos dettes. Ensuite, trouvez une stratégie de remboursement de la dette que vous pouvez suivre. Créer un budget ensemble, si vous n'en avez pas déjà, serait un bon point de départ. »
Les conclusions clés du sondage (** Pour des résultats complets sous forme de tableau, veuillez visiter le site Web d'Ipsos à www.ipsos-na.com).
Si les Canadiens pouvaient changer l'une des habitudes financières de leur conjoint, ce serait...
Les dépenses excessives ou un manque |
43 % |
N'épargne pas assez pour les objectifs à |
36 % |
Ne pas tenir compte de leurs dépenses |
36 % |
Manque de connaissances sur les |
22 % |
Ne pas investir suffisamment |
20 % |
L'utilisation de carte de crédit pour |
18 % |
À quelle fréquence discutez-vous de vos finances avec votre conjoint ?
Tous les jours |
5 % |
Quelques fois par |
14 % |
Hebdomadairement |
19 % |
Mensuellement |
25 % |
Rarement |
30 % |
Jamais |
6 % |
Quels secrets financiers cachent les Canadiens à leurs conjoints ?
Leurs propres habitudes de |
35 % |
Dette de carte de crédit |
32 % |
Revenu |
20 % |
Dépenses mensuelles ou |
18 % |
Investissements ou actifs |
16 % |
Épargne-retraite |
13 % |
Dette précédant la relation |
11 % |
Autres secrets |
9 % |
Dette étudiante |
5 % |
À propos des services de redressement financier de BDO Canada s.r.l. :
L'ensemble des services de redressement financier de BDO est l'une des premières (depuis 1958) et plus grandes organisations offrant aux Canadiens et à leurs familles des solutions financières à travers le pays. Nos conseillers professionnels sont des syndics autorisés en insolvabilité (licenciés par le Bureau du surintendant des faillites) et des administrateurs de propositions de consommateur offrant des services de conseil en matière de crédit, de propositions aux consommateurs et de faillites personnelles.
Voici quelques-unes des conclusions du sondage Ipsos mené entre le 2 janvier et le 4 janvier 2018, au nom de BDO. Pour cette étude, un échantillon de 1 540 Canadiens âgés de 18 ans et plus a été interviewé. Dans ce cas, cette étude est exacte à ± 2,8 points de pourcentage, 19 fois sur 20, si tous les Canadiens de 18 ans et plus avaient été interrogés.
SOURCE BDO Canada
et les demandes des médias, veuillez joindre : Alida Alepian chez Capital-Image, 514-739-1188 poste 239, [email protected]
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