Nouvel éclairage dans la lutte contre le parasite Leishmania
LAVAL, QC, le 19 oct. /CNW Telbec/ - L'équipe du professeur
Quelque 350 millions de personnes vivent dans des zones où l'on peut contracter la leishmaniose. Plus de 90 % des cas se déclarent en Inde, au
Transmis à l'humain lors d'un repas sanguin de la mouche des sables, le parasite est internalisé par des macrophages du foie, de la rate et de la moelle osseuse. Ce parasite arrive par contre à altérer le processus normal de phagocytose (la destruction de corps étrangers), à lui résister et ainsi, à se répliquer et à infecter d'autres macrophages. Ce processus de résistance implique notamment le blocage du processus habituel d'acidification à l'intérieur du macrophage, en perturbant les fusions membranaires.
Jusqu'à ce jour, peu d'études s'étaient intéressées à l'identification des régulateurs de ces fusions membranaires et à leur rôle dans le processus de biogénèse du phagolysosome (un compartiment où sont habituellement tués les microorganismes pathogènes). Les travaux du doctorant
L'article scientifique est disponible à :
http://www.plospathogens.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.ppat.1000628.
Renseignements: Albert Descoteaux, professeur, INRS - Institut Armand-Frappier et Centre de recherche sur les interactions hôte-parasite, (450) 687-5010 poste 4465, [email protected]; Source: Julie Martineau, directrice des communications, (418) 654-3814, [email protected]
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